Belle-sœur de l'Empereur - 1
Datte: 15/02/2023,
Catégories:
fh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... laisse tenter. Je capture entre mes doigts cette chose à présent si fragile et avachie. Je constate avec un certain plaisir qu’elle se redresse un peu, puis qu’elle durcit lentement. Instinctivement, je branle ce vit qui se raffermit. C’est donc ainsi qu’un homme montre la force de son désir pour une femme ? C’est un amusant baromètre !
— Vous me faites de l’effet, comme vous le constatez…
— Je vois ça… je vois ça…
Je continue d’imprimer des doux et longs va-et-vient le long de sa tige de chair. Karl demande :
— Je vous sens chagrine…
— Moi ?
— Oui, on dirait que vous avez envie de demander quelque chose sans oser le dire…
Je me demande ce que je pourrais cacher à mon mari ! J’avoue :
— Je… j’ai envie de… Je vous veux en moi, Karl !
— À votre service, chère Wilhelmine !
Aussitôt dit, aussitôt fait, j’ai le plaisir de le sentir en moi, sur moi, d’être possédée et de le tenir captif dans mes profondeurs. J’adore quand il coulisse en moi, lentement, profondément. Curieuse, je demande :
— Vous avez été très tendre avec moi, mais je sentais que vous vous refréniez…
— Ce n’est pas faux…
— Pourquoi ne vous laissez-vous pas aller ?
— Je ne voudrais pas passer pour un soudard…
Je m’étonne de cet aveu :
— Un soudard ? Vous voulez dire : être violent ?
— Non, pas violent en soi, mais passionné, fougueux, j’ai un peu peur de vous choquer en me laissant complètement aller, voyez-vous…
— Même si c’est moi qui vous le demande ?
Il me regarde ...
... étrangement puis me sourit :
— Vous sentez-vous d’attaque ? Vraiment d’attaque ?
— Vous utilisez un vocabulaire bien guerrier, Karl…
— C’est bien le cas… totalement le cas…
Après s’être légèrement retiré, il s’enfonce en moi de façon plus puissante, je sens la différence, mais ça m’excite. Je sens que petit à petit mon mari ôte ses brides, me pistonnant maintenant sans retenue, bestialement, presque brutalement. Ses coups sont si violents que je m’agite comme une poupée désarticulée, poussant des petits cris à chaque coup de boutoir, m’ouvrant au maximum pour mieux qu’il plonge en moi ! Il entre et il sort de toute la longueur de son mandrin, limant au passage un petit bouton rose qui me procure tant de plaisir !
Je découvre avec stupeur qu’une certaine violence contrôlée peut faire autant d’effet que la douceur. Voire peut-être plus… Non, c’est différent, mais étrangement excitant, enivrant. Je découvre bien des choses ce soir ! Je suis comme détachée de mon corps, en train d’observer toutes ces nouveautés. Bien que je sente à nouveau une sourde chaleur brûlante monter en moi… pas tout à fait la même qu’auparavant…
Soudain, Karl ralentit, avouant d’une voix étrange :
— C’est fou ce que vous me faites faire, Wilhelmine !
J’agrippe fermement ses hanches, puis instinctivement, je lui dis :
— Continuez, Karl ! Laissez-vous aller !
Il marque un temps d’arrêt, puis sans dire un seul mot, il recommence à s’activer en moi. Féroce, il continue sa douce torture dans ...