Belle-sœur de l'Empereur - 1
Datte: 15/02/2023,
Catégories:
fh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... J’entends alors Karl grogner, puis crier son plaisir tandis que je perçois confusément que je suis remplie, inondée.
Plus tard, je reprends conscience, Karl est allongé sur le ventre, juste à côté de moi. Je me redresse à moitié, assez étourdie de tout ce qui vient d’arriver. C’est alors que je regarde entre mes jambes, j’y découvre quelques taches de sang, je ne suis plus vierge. Me revient en mémoire une ancienne tradition dans laquelle on montrait les draps de la nuit de noces aux proches parents. Je crois que je viens de tout comprendre.
Étonnée, je constate que mon bosquet et ma fente sont empoissés d’un liquide gluant. J’en frotte un peu entre mes doigts pour en savoir la consistance. Sur le coup, je me demande bien quel goût ça peut avoir, mais je préfère éviter.
— C’est du sperme, ma douce…
— Ah ? Je vous ai réveillé ?
— Non, non, je sommeillais à moitié. Comme vous avez pu le comprendre, c’est assez épuisant, pour vous comme pour moi.
— Du sperme, dites-vous… C’est donc ça…
— C’est par le biais de celui-ci que les enfants viennent ou plutôt surviennent.
Je regarde le bout de mes doigts légèrement gluants :
— Étrange façon…
— Je ne vous le fais pas dire, mais avouez que la façon de les faire est très jouissive.
— Oui, c’est vrai… Dois-je comprendre que je vais bientôt être enceinte ?
— Non seulement, ça ne fonctionne pas à tous les coups, mais ça dépend aussi des périodes. D’après ce que je sais, plus nous sommes proches de vos flux, moins il y a ...
... d’enfant possible. Il faudra que nous nous penchions sérieusement sur cet état de fait. Honnêtement, je ne tiens pas à être trop vite père.
— Pour ma part, être mère ne me tente pas trop pour l’instant…
— Dans ce cas, conjuguons nos efforts.
Karl se rapproche de moi :
— Et en parlant de conjuguer, je vous propose d’explorer d’autres verbes…
— Ah ? Lesquels ?
— Aimer, embrasser, caresser, jouir, forniquer…
— On peut conjuguer combien de verbes à la suite ?
— Jusqu’à ce qu’on ne le puisse plus, ma douce !
À nouveau, Karl s’occupe de moi. De mon côté, je découvre le corps d’un homme, j’y aventure mes doigts, mes paumes, mes lèvres. Je suis sans doute malhabile, mais ça me plait, j’essaye de donner un peu alors que Karl me donne tant. Lui et moi profitons sans honte de nos corps. Lui et moi jouissons encore et encore, moi, plus souvent que lui, je suis capable d’enchaîner ces décollages inouïs, comme s’il s’agissait de simples ricochets sur l’eau, c’est assez fou !
Je comprends alors qu’une nuit de noces peut être fantastiquement féerique ou tourner au cauchemar en fonction du partenaire. Je sens confusément qu’elle peut aussi déboucher aussi sur de la platitude, un monde sans relief, désertique. Dieu, que les choses sont mal faites !
Alanguie par ma dernière jouissance, je caresse distraitement la cuisse de mon mari.
— Vous devriez remonter un peu plus haut, ma douce…
— Vous voulez dire… votre… votre machin ?
— Mon machin, mon engin, ma chose…
Je me ...