Belle-sœur de l'Empereur - 1
Datte: 15/02/2023,
Catégories:
fh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... mes profondeurs, entre mes cuisses, coulissant dans mon tunnel étroit. Il me perfore, il me comble sans relâche !
— Oh ! ooh ! Karl ! Oui, Karl !
Défaillante, je n’arrive plus à me contrôler, je me laisse complètement aller dans une chute vertigineuse, sans comprendre ce qui m’arrive, où est le haut, ou est le bas !
Puis j’explose en mille cris stridents.
Je me volatilise littéralement dans un long gémissement inarticulé, sombrant corps et âme dans un océan tiède et doucereux !
Nous restons ainsi l’un sur l’autre, son pieu devenu flasque toujours coincé entre mes cuisses. Petit à petit, je reprends conscience. Je suis un peu effrayée par ce que je viens de vivre, mais aussi très heureuse. Karl réémerge à son tour, il m’embrasse dans le cou, écrasant ma poitrine, comme s’il voulait faire éclater mes seins tels des fruits trop mûrs. Le plus étrange est que ça me plaît, que je ne ressens pas de douleur, j’aime son poids sur moi, j’aime son intrusion en moi.
Essoufflé, il murmure à mon oreille :
— Eh bien… ce fut… ce fut un feu d’artifice !
— Nous… nous pouvons le dire ainsi…
S’appuyant sur ses coudes, il se relève un peu. Je respire mieux. Il me regarde longuement puis finit par m’avouer :
— Je mentirais si je vous disais que c’était ma première fois. Mais je ne mens pas si je vous dis que c’est bien la première fois que c’est si puissant !
— Je… je vous crois…
— Oui, je ne regrette absolument pas mon mariage ! Je sens que vous et moi allons voir ...
... l’avenir sous un autre angle ! N’en déplaise aux fâcheux !
Puis cette nuit-là, nous avons recommencé plein d’autres fois !
Puis les autres nuits, j’ai découvert d’autres plaisirs, et j’en ai redemandé encore et encore !
Comme aujourd’hui, il fait beau, nous nous promenons dans les jardins. Il n’y a pas trop de monde au dehors, et ça nous permet d’être relativement au calme, loin de la cohue des courtisans qui s’entassent dans les salons impériaux et qui suivent le frère de mon mari comme des toutous après un os. Je sais, ce n’est pas charitable, mais c’est l’image qui m’est venue à l’esprit devant ce triste spectacle. Quand je m’en suis ouverte à Karl, celui-ci a répondu aussitôt en riant :
— Très belle métaphore, ma chérie !
Arrivé auprès d’une pièce d’eau, mon récent mari me propose une petite balade en barque, j’accepte avec joie, mais néanmoins inquiète, je lui demande :
— Ce n’est pas trop profond, car je ne sais pas nager…
— N’ayez crainte, chère Wilhelmine ! Au pire, il doit y avoir quatre pieds de profondeur.
— Que quatre pieds ?
— Oui, car mon grand-père ne savait pas nager, et il avait imposé cette exigence quand il a fait construire ce faux lac, qui est en réalité un bassin. D’ailleurs, ma mère m’a raconté qu’il allait parfois s’isoler sur la petite île centrale, celle avec un temple rond, en marchant carrément dans l’eau.
— Vous me rassurez !
Quelques minutes plus tard, nous voici éloignés du bord, en train de deviser de tout et de rien. ...