Si belle belle-fille (1) - Histoires de Sexe

Si belle belle-fille (1)

... dont il lui semblait percevoir la chaleur. Il serra tendrement, mais fermement la chair, d’un geste qui évoquait sans équivoque la possession, le geste d’un homme qui glisse sa main sous les jupes d’une femme. Il commença ensuite une longue caresse, allant et venant à l’intérieur de la cuisse entre ses deux extrémités débordant sous le genou, mais se gardant bien, quand il repartait en sens inverse, d’atteindre la buttée, de toucher le Saint des Saints.

Céline respirait silencieusement, mais une grosse houle soulevait sa poitrine à un rythme rapide. Bouche entrouverte, elle happait l’air à grosses goulées. Les yeux clos et les joues empourprées, la jeune fille paraissait s’abandonner complètement à l’instant, renonçant même au maintien des apparences, à faire semblant de s’intéresser au programme télévisé.

Contre toute attente, elle s’exprima, demandant « Maman est partie pour longtemps ? »

Tom, ne sachant comment interpréter cette phrase, interrompit sa caresse. « Heu... oui, je pense qu’elle est allée chez sa copine Clarisse, elle ne reviendra pas avant deux bonnes heures. »

Ce à quoi, Céline répondit un « OK » laconique, laissant Tom dans l’incertitude, sa main immobile, continuant d’observer un principe de précaution.

— C’est bon tes gouzous, lança Céline, encourageant son beau-père à reprendre ses caresses tout en entretenant par l’usage de cet euphémisme l’ambivalence qui les rendaient acceptables.

Tom continua un long moment, sans se lasser, à ...

... malaxer tendrement l’intérieur des cuisses de la jeune fille. Ce fut elle qui, d’un mouvement discret du bassin, presque imperceptible, se déplaça en avant à chaque fois que la tranche de la main approchait de sa chatte. Tom au début pensa qu’il prenait ses désirs pour des réalités et ne parvint à se convaincre tout à fait de ce mouvement qu’après l’avoir constaté plusieurs fois et que Céline le rendit plus manifeste. N’osant pas pour autant franchir le pas, Tom stationna un instant sur ce renflement en haut des cuisses, si tendre et si doux, précédent immédiatement le pubis, hésitant à basculer.

Ce fut elle qui, une nouvelle fois, précipita les évènements. Poussant en avant d’un coup sec son entrejambe, comme pour réajuster sa position, elle provoqua le premier contact entre l’auriculaire de Tom et le tanga en coton, pile contre son clitoris.

Pour la première fois, alors qu’il encaissait le choc de cette rencontre miraculeuse, Tom entendit le souffle de Céline qui émit un long « hhhha » aspiré. Toujours guidé par cette espèce d’accord tacite qui convenait entre les deux parties que rien ne devait jamais être trop indéniable, il poursuivit son massage sur ce renflement moite de la cuisse, tout en bougeant son petit doigt d’avant en arrière contre la fente de sa belle-fille. Le tissu humide accrochait au doigt et glissait, semblait-il, contre plus humide encore, de l’autre coté.

Ce fut Céline qui rompit le contrat de maintien des apparences, attrapant la main de Tom et ...