1. Si belle belle-fille (1)


    Datte: 12/02/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... fesses. Il se demandait aussi ce qui se passait derrière la porte de la chambre de Céline, lorsque lui parvenait inévitablement les soupirs de plaisir de sa mère. S’imaginait-elle ce qu’il faisait à Eva ? Se mettait-elle à sa place ? Si oui, envisageait-elle que Tom la baisait ou bien son petit copain ? Tom, de son côté, n’avait aucun mal et n’éprouvait aucune gêne en prenant la mère à se voir prendre la fille, agripper, pénétrer, claquer son cul de la même manière.
    
    — Ils ne l’ont pas encore fait.
    
    Souvent, tandis qu’il ne demandait rien, Tom obtenait ce genre de confidences de la part d’Eva. C’est ainsi qu’il savait sa belle-fille toujours vierge, ne s’étant livré jusque-là avec ce garçon qu’à de profonds baisers (auxquels il assistait parfois) et des « caresses appuyées ». Tom faisait mine de ne pas s’intéresser plus à ces informations qu’à certaines autres, concernant par exemple sa scolarité, mais les consignait en réalité précieusement dans un recoin secret de sa mémoire.
    
    Leurs visages offraient également de grandes similitudes. Là encore, mis à part la couleur des yeux, verts pour la mère, bleus pour la fille, les proportions étaient partout semblables et les marques de l’âge chez la mère, limités par le soin extrême qu’elle prenait de son apparence n’auraient pas à eux seuls suffit à les distinguer clairement. Ce qui frappait surtout lorsqu’on regardait leurs visages, en dehors de leur beauté, c’était l’arrondi des lèvres qui formait une sorte d’ébauche de ...
    ... baiser s’accentuant lorsqu’elles parlaient ou découvraient leurs dents parfaitement alignées et blanches. En dépit de cette perfection, Céline portait un appareil pour corriger on ne sait quel infime défaut, ce qui ajoutait un charme juvénile à sa bouche pleine de promesses.
    
    La plus grande différence entre la mère et la fille résidait au niveau de leur poitrine. La fille, paradoxalement, avait de bien plus gros seins que la mère. Si, à la connaissance de Tom, elle ne sortait jamais sans soutif, souvent le soir, après sa douche, elle se baladait dans la maison dans des t-shirts plus ou moins amples qui révélaient le maintien ferme de sa poitrine. Ses courbes prononcées tendaient le tissu entre des tétons qui pour un oui ou pour un non pointaient très haut, selon un angle proche ou égal à celui de l’érection d’un homme jeune.
    
    Souvent, Tom, Eva et Céline s’entassaient sur le petit canapé selon cet ordre, de gauche à droite, et Tom se livrait à de longues caresses sur des pieds et des mollets d’Eva tandis que cette dernière ronronnait presque, disant souvent, pour elle même, pour Tom et pour Céline combien ce qu’il faisait était délicieux et combien il faudrait que sa fille connaisse cette volupté. « Un jour, je te prêterai les mains de Tom », lui avait elle souvent promis, au comble du plaisir, ce qui à chaque fois, enchantait Tom qui redoublait de zèle dans ses caresses.
    
    Un jour en effet, quand Tom les rejoignit, mère et fille occupaient chacune une extrémité du canapé, et ...
«1234...»