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Si belle belle-fille (1)
Datte: 12/02/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
De sa vie, Tom n’avait jamais rien touché de plus doux que l’intérieur des cuisses de sa belle-fille Céline, qui avait fêté ses dix-huit ans la veille. Elle avait ouvert ses cuisses juste pour lui, l’invitant à y poser la main, à les caresser, qui sait au juste jusqu’où, ou jusqu’à quoi elle l’invitait à l’instant où elle avait fait ce geste. Le doute était permis. Elle pourrait en tout cas, si les choses allaient trop loin prétendre qu’elle s’offrait à une caresse innocente et n’aspirait à rien de plus. Certes, un de ses délicats petits pieds, avant de se soulever, s’était posé accidentellement sur l’entrejambe de son beau-père et y était resté, bien à plat, comme pour en explorer les reliefs, mais l’étroit canapé sur lequel ils étaient installés, elle couchée et lui assis ne favorisait-il pas ce genre d’incidents ? Allongée, Céline offrait à Tom sa hanche droite en guise d’accoudoir. Il y appuyait donc son bras gauche tout en pétrissant ses magnifiques mollets de sa main droite glissée sous le plaid. Combien de fois avait-il affirmé à sa mère: "les mollets sont les nichons des jambes" ! Sans doute même l’avait-il soutenu devant Céline dont il malaxait à présent les globes souples, lisses, parfaitement galbés, comme s’il se fut agi de ses seins. C’est en tentant de glisser du mollet à la cuisse, au moment où il touchait le genou, que les cuisses s’ouvrirent, un peu comme dans un jeu vidéo où, explorant un temple mystérieux, on appuie par hasard sur un bouton ...
... camouflé. Les cuisses s’ouvrirent, invitant sa main à entrer dans l’angle qu’elles formaient, à s’y balader librement. La douceur du contact de la peau le prit par surprise, provoquant une espèce d’éblouissement tactile. Depuis qu’il connaissait sa mère, Eva, il pensait que rien ne pouvait surpasser la douceur de sa peau. C’était donc avant d’entrer en contact avec celle de sa fille et avant de découvrir cette zone à l’intérieur des cuisses, et d’en être stupéfait. Tom, souvent, observait la femme et la jeune fille et s’amusait au jeu des différences. Vues de dos, leurs silhouettes ne permettaient pas de les distinguer. Seules leurs chevelures différaient radicalement : la fille était aussi idéalement blonde que la mère aurait pu incarner un archétype de brune. De même taille, elles adoptaient les mêmes postures qui courbaient de la même manière les arcs identiques de leurs hanches, de leurs cuisses, de leurs dos. Par-dessus tout, c’est la cambrure des reins qui captait l’attention, une cambrure de danseuse qui jetait en arrière leurs culs joyeusement rebondis, irrésistibles appâts, invitations impérieuses à les suivre au bout du monde. Invariablement, Tom songeait alors qu’il connaissait l’une de ces merveilles par cœur tandis que l’autre lui était absolument interdite. Il se demandait toujours si la ressemblance s’étendait jusqu’aux replis les plus intimes. Il y pensait même parfois lorsqu’il bouffait la chatte d’Eva ou lorsqu’il la prenait par derrière en lui agrippant les ...