Cette punition qui a changé ma vie (4)
Datte: 08/02/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Porphyrion, Source: Xstory
... centimètres de long. Il est creux au milieu.
J’enfile le gode sur mon sexe, impatient. D’avoir cette bite énorme dressée, accrochée au corps me donne une impression de puissance barbare.
Princesse me pousse en arrière, je tombe assis sur le sol. Devant mon visage, son sexe humide commence déjà à couler le long de ses cuisses. J’entends son halètement d’envie quand elle se penche vers mon gode dressé.
Elle le met en bouche, il pénètre avec difficulté, aidé par l’abondante salive qui coule sur ce pieu de silicone. Malgré l’épaisseur de l’engin, je sens la caresse de ses lèvres sur mon sexe tendu.
Après un trop court instant, elle arrête et enfin se place au-dessus du monstre. Dans un feulement violent, elle s’empale en une seule fois.
Elle est assise sur moi, son poids repose entièrement sur mes hanches. Ma rondelle explose de plaisir, sous le poids de Princesse mon plug s’est enfoncé au plus profond de moi, m’emportant dans une vague de jouissance inconnue jusque-là. Mon sexe a coulissé avec le gode, remplissant la chatte avide.
Les hanches de la femelle en rut commencent à onduler lentement, collant son ventre au mien, avec de plus en plus de force, de violence. Nos souffles s’affolent, le rythme s’accélère encore, je passe les bras dans son dos et m’agrippe à ses épaules pour ne faire qu’un avec elle.
D’autorité, elle me met un sein en bouche, à moitié étouffé, je le suce, l’aspire, comme si je voulais avaler toute entière cette masse ...
... ferme.
Princesse à son tour s’accroche à moi, un bruit de succion continue monte de son sexe trempé, son jus ruissèle sur mes couilles, une flaque se forme sous nous corps dégageant l’odeur forte de sa chatte avide de mâle. L’accouplement devient bestial, mes bras la tirent vers moi pour qu’elle s’enfonce encore plus profondément sur le monstre qui m’entoure le sexe, décuplant mon plaisir. Excité, perdant toute notion de la réalité, je mords violemment son sein, pinçant son téton avec les dents, lui arrachant des cris de plaisir.
Ses hurlements rauques sont accompagnés de cris de jouissance aigus qui remplissent la pièce. Elle s’effondre sur moi, terrassés tous les deux par notre jouissance.
Le silence s’est fait. Je reviens lentement à moi, reprenant doucement mon souffle. Je réalise alors dans ce moment de calme que les cris qui accompagnaient ceux de Princesse étaient les miens, elle m’a amené vers une extase que je n’avais encore jamais connue.
A travers mes paupières mi closes, j’observe les trois filles restées dans la pièce. Elles nous contemplent, les mains glissées sous leur sari, se doigtant délicatement.
Princesse se relève avec légèreté, abandonnant avec un soupir le pieu qui lui a donné ce plaisir intense.
— Mesdemoiselles, amenez-le dans son boudoir et mettez-lui ses vêtements de travail.
Les filles abandonnent visiblement avec regrets leurs caresses. Je suis entraîné nu à travers le couloir vers une pièce qui m’est visiblement destinée. C’est une chambre ...