Cette punition qui a changé ma vie (4) - Histoires de Sexe

Cette punition qui a changé ma vie (4)

... les yeux pour ne pas voir le regard moqueur des trois assistantes de princesse Fatou.

Les doigts de Princesse reviennent sur ma raie, l’écartent pour bien dégager mon petit trou, affolé, je sens qu’elle pose un objet sur le bord de ma rondelle. Je veux refuser, dire que l’huile suffit comme protection, mais je n’arrive qu’à sortir de vagues jappements du bâillon.

Princesse appuie fortement et le plug s’enfonce en une seule fois jusqu’à la garde.

J’essaie de retenir mes larmes face aux trois déesses qui me regardent pendant que Princesse officie, commençant à étaler la cire chaude sur mon corps. Je ne comprends pas cependant leurs regards ironiques. Je suis la direction de leurs yeux et découvre horrifié que j’ai une érection énorme, mon sexe est tendu comme jamais. Cette intromission me donne un plaisir que mon cerveau refuse d’admettre, mais que mon corps, lui, a bien reconnu.

La première bande de cire tirée brutalement m’arrache un cri de douleur. L’épilation a commencé. Petit à petit, je m’habitue à la douleur, je pense à Mademoiselle et à la fierté que j’aurai à lui montrer mon corps glabre. Malgré la violence de Princesse Fatou, mon érection est toujours là, entretenue par les poussées qu’elle met régulière sur le plug, comme pour me rappeler le pouvoir qu’elle a sur moi.

Enfin, le calvaire se termine, princesse me laisse aux mains de ses trois assistantes qui me couvrent le corps de crème apaisante. Le plug reste à sa place, il accompagne mon érection. ...

... Elle ne m’a pas quitté depuis que Princesse m’a forcé l’anus.

Apaisé, je vois revenir Princesse qui me toise. Sa main se promène doucement sur mon corps. Un peu inquiet, j’attends son verdict.

— C’est parfait, tu as la peau douce comme une catin.

Amusée, elle observe mon sexe dressé, coulant d’envie.

— C’est bien, tu as réussi à maintenir ton désir vivant tout au long de la séance. Tu mérites une récompense.

Médusé, je la vois détacher un à un les boutons de son chemisier, mon regard se fixe sur son soutien-gorge d’un noir profond dont l’entrelacs de dentelles dévoile plus qu’il ne cache la lourdeur des seins.

Une des filles passe derrière elle et sépare les attaches, les deux masses couleur ébène coulent doucement en avant, m’arrachant un premier gémissement de plaisir.

Les deux autres filles la débarrassent du reste de ses vêtements. Ses hanches s’élargissent à portée de mes mains, son sexe lisse est à hauteur du mien tendu, ses lèvres luisent déjà de son désir, je n’ai qu’une envie, me glisser entre les cuisses de la Vénus black.

Elle fait un signe rapide vers une des filles qui disparaît de la pièce.

Princesse me regarde, impavide :

— Ton sexe est vraiment de belle taille, mais il m’en faut plus pour me satisfaire.

La fille revient dans la pièce portant sur un plateau qui semble en argent un gode à ceinture qui paraît gigantesque.

— Enfile-le.

De près, il est encore plus impressionnant, au minimum 6 centimètres de diamètre et 20/25 ...