Cette punition qui a changé ma vie (4)
Datte: 08/02/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Porphyrion, Source: Xstory
... spectacle vivant pour une lopette lubrique comme toi !
Son regard est fixé sur mon sexe dont l’érection ne peut être dissimulée.
Elle se plaque à moi, je sens sa main qui remonte lentement le long de mes cuisses, je bloque ma respiration pour retenir le gémissement de plaisir qui allait sortir. Doucement, elle caresse mes couilles, puis les serre lentement, de plus en plus fort. La douleur intenable me fait débander quasi instantanément, des larmes me viennent aux paupières.
Dans un souffle, je murmure :
— Pardon Princesse Fatou.
Au très léger sourire qui ombre ses lèvres, au clignement imperceptible de son regard, je vois que ma reddition sans condition lui convient.
— Monte maintenant et allonge-toi sur le ventre.
— Mademoiselle souhaite que je t’enlève tous ces poils disgracieux.
Puis se rapprochant à se coller :
— Je travaille à la cire, tu vas aimer cette légère douleur, me chuchote-t-elle à l’oreille.
Allongé sur le ventre, je sens ses mains qui se promènent doucement sur mon corps comme pour évaluer le travail à réaliser. Ses doigts se glissent entre mes fesses qu’ils écartent délicatement. Je n’ose réagir, subjugué par l’alternance de douleur et de douceur utilisée par cette femme. Son index commence à titiller ma rosette encore excitée par le traitement subi dans le bain.
— Très mignonne cette petite fleur, il ne faudrait pas l’abîmer avec de la cire.
Elle claque dans ses mains :
— Mesdemoiselles, apportez-moi une ...
... protection.
Aussitôt, une des filles lui amène un plateau, dans ma position, je ne distingue pas bien ce qu’il y a dessus. Plusieurs tubes on dirait.
— Nous allons lui en mettre une petite, cela semble tout nouveau pour lui.
Bien entendu, c’est nouveau pour moi, je n’ai pas l’habitude de m’épiler. Mais je préfère ne rien dire, je ne veux pas prendre de risque tant que je ne sais pas ce qu’il y a sur le plateau.
Princesse prend un des tubes sur le plateau, une légère odeur d’huile d’amande douce se repend autour de nous. Son index revient sur ma rosette, je sens l’huile qu’elle étale dessus. Son doigt appuie un peu plus fort et pénètre en un seul coup dans mon petit trou.
Je laisse échapper un petit cri que j’aurais voulu moins aigu. Je cambre les reins, son doigt m’électrise, mais elle le ressort trop vite. A ma grande honte, je réalise que je commence à prendre beaucoup de plaisirs à être maltraité en utilisant dans ce qu’elle a appelé ma fleur.
Je hoquète sous les deux violentes claques qui tombent sur mes fesses me coupant la respiration.
— Silence, tu crois que tu as le droit d’exprimer ton plaisir ou ta douleur ?
— Amenez le bâillon.
Rapidement, une boule m’est enfoncée dans la bouche, attachée derrière la tête, m’empêchant d’émettre d’autres sons que des grognements d’animal.
— Mets-toi à quatre pattes.
— Baisse la tête.
Je me retrouve dans cette posture humiliante devant ces quatre femmes, le front collé à la table, les fesses dressées. Je ferme ...