1. Frasques à Deauville


    Datte: 02/09/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds

    ... là pour ça.
    
    La voix de Constance me rappela à la réalité. Je me suis retournée et surprise, Constance était harnachée d’un gode-ceinture (en cuir noir apparemment). L’appendice n’était pas trop gros, juste ce qu’il faut. Hormis avec Lulu mon vibro (oui, je lui ai donné un petit nom !), je ne suis pas trop adepte des sextoys et en tout cas, pas du tout des gros engins. Celui-là ça allait. Je n’ai pas le compas dans l’œil, je serais donc incapable de vous dire ne nombre de centimètres. Et d’ailleurs on s’en fout. Le principal, c’est qu’il me semblait de taille raisonnable pour mon vagin, peu habituée aux pénétrations imposantes !
    
    - Vous voulez le sucer ?
    
    - Euh … oui, pourquoi pas !
    
    Je me suis agenouillée devant Constance et ai pris le godemiché dans ma bouche. La fellation, ça aussi, ce n’est pas une spécialité maison. Mais je m’appliquais, essayant de lubrifier au maximum l’engin avec ma salive, afin que son entrée dans mon vagin soit la plus aisée possible.
    
    Constance me pris la main et me releva. Elle m’emmena vers le lit et m’allongea sur le dos.
    
    Elle écarta mes cuisses et me lécha le sexe. Ça, pas de problème, j’aime !
    
    - Vous êtes toute mouillée Laetitia, ça va entrer tout seul ! me dit-elle en s’agenouillant devant moi, son bassin entre mes cuisses.
    
    Elle prit l’engin dans sa main, et le présenta à l’entrée de mon vagin. Elle le pénétra progressivement, je sentis glisser le gode en moi. Plutôt agréable comme sensation. Une fois l’engin entièrement ...
    ... pénétré, Constance écarta mes cuisses me tint par les chevilles et commença son va et vient. Elle était plutôt douée, le geste était régulier et surtout, à la différence de certaines femmes, elle avait le geste précis. Les femmes parfois qui se substituaient aux hommes pour pénétrer oscillent des épaules. Constance comme les hommes remuaient du bassin.
    
    Je me mis à souffler au rythme des coups de rein de ma partenaire. L’engin entrait et sortait en cadence. Des vagues de chaleur envahissaient mon ventre. Des « Hmmm » et des « aaaahhhh oui » succédèrent aux soufflements (il y eu même un ou deux « oooohhhh oui, comme ça »).
    
    Constance tourna la tête pour lécher une des cuissardes au niveau de mon mollet, ma jambe état posée maintenant sur son épaule. Je voyais sa langue s’activer sur le cuir. Une vraie fétichiste.
    
    L’orgasme me pris par surprise. Ce fut fort. Une succession de « Oh oh oh » retentirent, puis j’agrippais la tête de Constance pour l’approcher de la mienne et glisser ma langue dans sa bouche.
    
    J’ai lu, récemment un article, qui disait que l’orgasme vaginal n’existait pas en fait. Le vagin ne serait pas érogène. La friction contre ses parois provoquerait en fait des vibrations et titillerait la zone clitoridienne qui est sa voisine de palier, provoquant ainsi l’orgasme. La question vaginale ou clitoridienne n’aurait lieu d’être. L’orgasme vaginal serait au final clitoridien. Bon, en fait, on s’en fout, l’essentiel étant de prendre son pied ! Enfin, c’est ce ...
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