1. Frasques à Deauville


    Datte: 02/09/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds

    ... gants de cuir rouges, ceux de la vente.
    
    - Touchez comme le cuir est doux et fin, me dit-elle.
    
    Je caressais la matière. En effet, le cuir était souple et doux.
    
    - Je vais vous les passer.
    
    Elle eut du mal à me les passer. Ils me faisaient comme une seconde peau. Constance tira vers le haut pour les tendre au maximum. Les gants montaient jusqu’au milieu de mes biceps.
    
    - Vous êtes superbe Laetitia. Allez-vous voir dans le miroir.
    
    Je me déplaçais vers le miroir. En effet, voir mon reflet ainsi vêtue augmenta mon excitation (si c’était possible). J’ai passé ma main sur mon ventre. Le contact du cuir de gant sur ma peau me provoqua la chair de poule instantanément. De l’autre main, je me caressais un sein. Le téton se durcit sous la caresse.
    
    Constance vint se coller derrière moi. Elle frottait son corps nu à mon dos, enfin surtout sur le cuir de manteau. Elle lécha mon épaule, enfin le cuir du manteau sur mon épaule plutôt.
    
    J’ai passé ma main derrière moi et lui caressa les fesses. Le contact du cuir du gant sur elle la transit. Et lui arracha un profond soupir. Son corps se colla encore plus au mien. Elle se frottait maintenant avec frénésie sur le cuir :
    
    - Retournez-vous, me dit-elle
    
    Une fois face à moi, elle écarta les pans du manteau, tira une de mes jambes en avant et commença à se frotter l’entre-jambe sur le cuir de la cuissarde :
    
    - Caressez moi partout Laetitia, ces gants sont divins.
    
    Je passais ma main sur ses seins, sur son ventre. Elle ...
    ... se frottait toujours le sexe sur ma botte. J’agrippais ses fesses à deux mains pour accompagner le mouvement :
    
    - Attendez, me dit-elle en s’écartant d’un seul coup.
    
    Je notais une trace de mouille sur la cuissarde.
    
    Elle prit deux de mes doigts dans sa bouche et se mit à les sucer :
    
    - Vous savez où les mettre, n’est-ce pas ?
    
    - Oui, je me doute, lui répondis-je en les glissant dans son intimité, provoquant un petit cri aigu de sa part.
    
    Je la branlais en douceur, la pénétrant de deux doigts, mais en glissant mon pouce à la recherche de son clito.
    
    De son côté Constance, a pris mon autre main, à glisser mon index gainé de cuir dans sa bouche :
    
    - Dans mon cul celui-là …
    
    Je glissais mon index dans son fondement. J’accélérais mes mouvements, alternant main gauche et main droite, ralentissais, reprenais … Constance geignait, soupirait, me soufflait des encouragements d’une voix rauque. Enfin, l’orgasme la prit. Il fut rapide, mais à priori intense. Son visage tendu juste avant marqua le bien-être.
    
    - Laetitia, vous m’avez gâtée ! dit-elle en reprenant son souffle et sa prestance. Je vais vous donner du plaisir à mon tour. Attendez-moi, je reviens …
    
    Elle me laissa là comme une idiote, debout seule au milieu de la pièce.
    
    Je m’aperçus que mon sexe tait tout humide. J’ai glissé ma main gantée entre mes jambes. Le cuir était encore tout humide de la cyprine de Constance, que je mélangeais à la mienne :
    
    - Ne vous donnez pas de plaisir vous-même, je suis ...
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