1. Un dimanche (presque) comme les autres


    Datte: 30/01/2023, Catégories: fh, couple, voiture, Oral 69, pénétratio, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... rondouillard.
    
    Passablement énervée, Martine, après avoir revêtu sa robe, se débarrassa de son maillot qu’elle remplaça par un simple slip. Régis Martin intervint :
    
    — Allez, on va chez nous finir la journée, on dînera à la bonne franquette, les gosses ne veulent pas se quitter.
    
    Et chacun prit la direction de sa voiture pour se rendre au domicile des Martin.
    
    **********
    
    Après un bref état des lieux, il fut constaté que la nourriture disponible était insuffisante. Pierre sauta sur l’occasion :
    
    — Avec Martine, on va aller faire un saut dans le bled d’à côté, il y a une épicerie ouverte sept jours sur sept.
    
    Et le couple s’en fut procéder à ses emplettes. Une fois celles-ci accomplies, Pierre Néral interpella son épouse :
    
    — On ne va pas rentrer tout de suite. J’ai une queue d’un mètre. On va trouver un coin tranquille et je vais te baiser dans la voiture, ça rappellera notre jeunesse.
    
    Martine procéda à la vérification d’usage en tâtant la braguette de son mari :
    
    — Mouais, j’ai vu mieux, mais si ça peut te faire plaisir…
    
    En fait, elle bouillait, mais ne voulait surtout pas l’avouer. La confession de Myriam avait déclenché un incendie dans son entrecuisse et elle se demandait comment arriver à se calmer. Après avoir tâtonné, Pierre trouva un emplacement discret dans une zone industrielle déserte en ce dimanche. À peine eut-il stoppé que Martine déboutonna fébrilement le pantalon du conducteur d’où surgit une pine tendue au gland violacé :
    
    — Ah, ...
    ... pas mal, mmmh mmmmh…
    
    Elle le suça voracement malgré la gêne du levier de vitesse tout en se laissant pétrir les seins qu’elle avait libérés en faisant glisser les bretelles de sa robe. La voix rauque, Pierre lâcha :
    
    — Viens, je vais te prendre dans le coffre, au moins le hayon aura servi à ça.
    
    Elle dépoitraillée, lui déculotté, ils sortirent du véhicule et après avoir fait de la place dans le hayon, Pierre aida son épouse à s’installer. Elle s’était débarrassée de sa robe et de son slip et l’attendait, pieds nus et cuisses ouvertes, les fesses au bord du pare-choc, et le fixant du regard :
    
    — Viens vite, j’en peux plus !
    
    Il la prit par les cuisses et s’enfonça en elle d’une seule poussée, jusqu’à la garde, debout. Elle miaula, s’allongea et trouva à s’accrocher pour lui renvoyer la balle. Devant les assauts conjugués et synchronisés, la voiture se mit à tanguer. Pierre se régalait de la houle de ses seins, Martine de ses pectoraux et de ses abdominaux saillants. Ils s’interpellaient :
    
    — Allez, chérie, remue le ton beau cul, sois chienne !
    — Cochon, salaud, j’en veux plus, plus, plus ! Jusqu’aux couilles, jusqu’aux couilles !
    
    Lesdites couilles battaient maintenant sur les fesses rebondies de Martine qui s’extasiait :
    
    — Ah, chéri, tu es dur, c’est bon, ne t’arrête pas surtout.
    — Parle-moi de ma queue, elle est bonne hein ?
    — Tu as une grosse grosse bite, chéri, fouille-moi, baise-moi.
    
    Pierre suait à grosses gouttes, soufflait comme un phoque et ...
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