1. Un dimanche (presque) comme les autres


    Datte: 30/01/2023, Catégories: fh, couple, voiture, Oral 69, pénétratio, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... comptait mettre le moment à profit pour entraîner Martine dans le sous-bois voisin et lui faire enfin sa fête. Il avait été repérer les lieux et il suffisait juste de prendre négligemment une serviette de bain. Mise au courant, Martine devenait un peu fébrile. L’envie de pénis devenait à la limite du tolérable. Pendant le bain du matin, Pierre avait trouvé le moyen de glisser un doigt dans son slip et ranimé l’incendie qui couvait.
    
    C’est alors que Régis Martin s’avança vers Roger Néral et murmura à son oreille :
    
    — Euh, Pierre, Myriam et moi, on a une urgence. Cela ne t’ennuie pas de surveiller les gosses pendant qu’on va faire notre petite affaire dans un coin ?
    
    Néral en resta muet de stupéfaction. Piégé ! Ces deux cochons l’avaient devancé. Quand ils disparurent dans les fourrés, Martine laissa échapper sa colère :
    
    — Alors ça alors, ils sont gonflés, ces deux-là ! Et c’est à nous de tenir la chandelle en plus ! Tu t’es encore débrouillé comme un manche, mon pauvre Pierre. Bon, maintenant, c’est terminé, la boutique est fermée !
    
    Pierre Néral accusa piteusement le coup. Le mieux était encore d’aller au bain pour se calmer. Martine fit de même, les nichons dressés comme en révolte. Et quand ils virent une demi-heure plus tard le couple ami sortir réjoui du sous-bois, Martine en remit une couche :
    
    — Et voilà ce qu’est un homme, un vrai, qui s’occupe bien de sa femme !
    
    Un peu plus tard, Myriam Martin, toujours très légèrement vêtue de son bikini ...
    ... minimaliste, s’approcha de Martine d’un air mutin :
    
    — Tu sais ce qu’on vient de faire avec Régis ?
    — Ben évidemment, j’ai compris, vous avez baisé.
    — Oui, c’était super. J’adore faire ça en pleine nature, pas toi ?
    — Si, mais vous nous avez devancés.
    — Ah bon ? Désolée. Vous n’avez qu’à y aller maintenant.
    — Non, il se fait tard, on ne va pas tarder à rentrer.
    — Dis-moi, je vais te demander un truc, euh, intime. Tu pratiques la sodomie avec Pierre ?
    — Ben, évidemment. Tu sais, on n’a aucun tabou.
    — Ah, très bien. Et tu utilises quoi pour que ça rentre bien ?
    — En général, un gel, mais parfois, Roger me prépare avec sa langue et sa salive et ça suffit, quand j’ai vraiment envie ça rentre tout seul.
    — Bon alors tu fais comme nous. Et tu te mets comment ? À quatre pattes ou assise ?
    — En principe, à quatre pattes.
    — Ah ! Tout à l’heure, j’ai fait ça assise, j’ai juste changé de trou (elle pouffa). C’est génial parce que je pouvais regarder Régis dans les yeux. Et c’est moi qui commandais la manœuvre, il était à ma merci. J’ai joui comme ça, j’en ai crié.
    — Je sais, on t’a entendue d’ici.
    — Tu m’étonnes ! Dans ces cas-là, je ne me contrôle plus. Que veux-tu, j’adore la bite. Je ne pourrais pas faire ça avec une femme. Et Pierre, c’est un bon coup ?
    
    Martine commençait à être un peu agacée. Elle répondit du tac au tac :
    
    — Oui, il est long et dur de jambes, de bras et de queue. Bon, on va s’en aller maintenant.
    
    Myriam ne répliqua pas. Son Régis était plutôt du genre ...
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