1. Un dimanche (presque) comme les autres


    Datte: 30/01/2023, Catégories: fh, couple, voiture, Oral 69, pénétratio, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... grande nouvelle à vous annoncer : ma fille a accouché. Un petit garçon, Kevin, trois kilos et tout mignon.
    — Ah, très bien, la maman se porte bien ?
    
    Alors s’engagea une conversation d’une affligeante banalité, qui menaçait de durer. Pierre Néral voyait son érection diminuer à vue d’œil et ça l’ennuyait profondément. Aussi se glissa-t-il à quatre pattes jusqu’à son épouse penchée à la fenêtre, mais dissimulée de l’extérieur jusqu’à la poitrine, laquelle débordait du peignoir. Couché entre les jambes de sa femme, il glissa son visage à l’intérieur du peignoir et lécha l’intérieur des cuisses avec l’intention de retrouver la vulve prématurément abandonnée par la faute de madame Michel. Martine essaya de le chasser avec son pied, mais Néral lui tenait solidement les cuisses et ses lèvres buccales rencontrèrent les lèvres vaginales et la moustache le luxuriant pubis. Cette situation inattendue lui plaisait finalement assez et sa langue se fit vorace. Martine Néral eut alors une crispation qui inquiéta madame Michel :
    
    — Qu’est-ce que vous avez, madame Néral ? Vous ne vous sentez pas bien ?
    — C’est que… je… euh… je crois que j’ai mangé un peu trop vite ce matin.
    — Pas bon, ça, madame Néral, il faut prendre son temps, surtout le dimanche. C’est comme moi…
    
    Martine Néral n’écoutait plus. Toute son attention était portée sur le travail de la langue de Roger. Ce cunni improbable la mettait en transes et elle dégoulinait sur la barbe en ondulant et en pesant sur la langue par ...
    ... des petits mouvements de son bassin. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir tout en affectant d’écouter la voisine intarissable. Pierre glissa un doigt dans son vagin et Martine réprima difficilement un petit cri.
    
    — Madame Néral, allez prendre du charbon, je crois que ça ira mieux.
    — Ou… oui, c’est ça, ouiiiii, euh pardon, au revoir madame Michel et bonne journée.
    
    Martine Néral referma précipitamment la fenêtre, fit voltiger son peignoir, et s’empala recta, à même le sol, sur la bite tendue de son mari, toujours en position assise :
    
    — Salaud ! Cochon ! Tu aurais pu attendre que j’aie fini, dit-elle en ondulant à grands coups de hanches.
    
    Les mains en appui sur les épaules de Pierre, les pieds collés au sol, elle faisait danser sa croupe sur la tige verticale de son époux, lui mettant ses obus dans la figure pour qu’il puisse les sucer en même temps. Elle devint vulgaire :
    
    — Cochon ! Salaud ! Mets-la-moi profond, remue-toi, vas-y, quoi !
    
    Pierre, stimulé par l’enthousiasme de son épouse, décolla ses fesses du plancher dans la position du marteau piqueur inversé. Surexcité, le couple était au bord d’un orgasme commun quand la fille aînée frappa à la porte de la chambre :
    
    — Maman ! Papa ! Mamie est au téléphone !
    — Quoi, qu’est-ce qu’elle a ? Dis-lui qu’on la rappelle.
    — Non, elle dit que c’est urgent, elle a une fuite d’eau et sa cuisine est inondée !
    — Ah, merde !
    
    Le couple se désunit avec un bruit mouillé. Martine pesta :
    
    — Ta mère, elle en ...
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