1. Un dimanche (presque) comme les autres


    Datte: 30/01/2023, Catégories: fh, couple, voiture, Oral 69, pénétratio, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... loupe pas une. On ne peut jamais être tranquille, même le dimanche.
    — Chérie, désolée, on reprendra plus tard, c’est promis, dit Pierre en enfilant un caleçon déformé par la grosseur de son sexe encore en érection.
    
    Martine, dépitée, revêtit son peignoir pour gagner la salle de bains et prendre une douche.
    
    — Je te rappelle qu’on a un pique-nique au bord du lac avec les Martin tout à l’heure. Les enfants y tiennent beaucoup, dit-elle à son mari.
    — Ah oui, c’est vrai, j’avais oublié. Bon, j’espère que je serai revenu.
    
    Deux heures plus tard, fuite réparée et épongée, Pierre Néral revint au bercail pour prendre lui aussi une douche avant de repartir au lac avec femme et enfants. Il essaya d’entraîner Martine pour un « petit coup vite fait » porte de la salle de bain fermée. Bien qu’habillée et pomponnée, elle était sur le point de céder quand le téléphone sonna. C’était Paul Martin qui s’inquiétait de ne pas les voir arriver au rendez-vous. Néral expliqua ses déboires de la matinée et renonça à son ambition immédiate d’un coït compensateur. Ce n’était décidément pas son jour.
    
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    Dans la voiture, sur le chemin du lac, le couple avait choisi de prendre la chose avec humour et de faire contre fortune bon cœur. Pas question d’être trop explicite avec les gosses derrière, on en resterait au stade des allusions.
    
    — Pas trop frustré ? lança Martine.
    — Pas plus que toi. De toute façon, tu ne perds rien pour attendre, la journée n’est pas finie.
    — Tu parles ...
    ... ! Il n’y a plus de musique dans ton accordéon.
    — Détrompe-toi. Je suis toujours prêt à jouer du clairon. On trouvera bien un endroit au lac.
    — Bof, tu as le souffle un peu court.
    — Je suis en train de faire des réserves.
    
    Comme par provocation, Martine avait écarté les cuisses sur le siège de la voiture et sa courte robe d’été était remontée jusqu’à la limite du slip de bain qu’elle avait revêtu avant de partir. Elle se caressait la cuisse d’une main négligente. S’ils avaient été seuls dans la voiture, Pierre aurait pris des mesures énergiques. De même, Martine ne pouvait pas ignorer la bosse qui tendait le haut du pantalon de son mari.
    
    — Je suis à point, murmura-t-elle, si tu ne fais rien, je divorce.
    — T’inquiète, je vais m’occuper de ton cas.
    
    C’est dans cet état d’esprit que les Néral retrouvèrent les Martin à la plage. On sortit les nappes et les paniers. Comme d’habitude, Myriam Martin portait le bikini de ses quinze ans, c’est-à-dire qu’il ne cachait à peu près rien. Martine Néral avait quand même un peu plus de tissu sur elle, mais il est vrai qu’elle avait aussi quelques kilos de plus, car Myriam était plutôt du genre asperge. Néanmoins, les seins de Martine débordaient généreusement du soutien-gorge et la rendaient de plus en plus désirable aux yeux de Pierre. Son slip ne dissimulait qu’imparfaitement ses fesses, et Martine n’arrêtait pas de le remonter, en vain…
    
    Après le bain, on déjeuna, on fit la sieste et l’heure d’un deuxième bain arriva. Néral ...
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