1. M.A.K. My life.... Ou presque (1)


    Datte: 23/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: ANDRERP95, Source: Xstory

    ... son pied. Dans les chiottes, j’ai pas eu le temps de la faire jouir. Je vais me rattraper. Elle le mérite. C’est une bombe au lit. Pas comme toi à ce qu’elle me dit.
    
    Les mots faisaient mal. Ce que je voyais aussi.
    
    Elle avait la robe retroussée autour de sa taille. Ses jambes largement ouvertes entre celles de son amant. Sa toison pubienne à l’air. Ses poils brillaient sous la lune, collés par son liquide intime.
    
    Margot a mis la main sur ma braguette. Je n’ai rien dit. C’était surréaliste ce que nous faisions ! Elle a libéré lentement mon sexe pour le prendre en bouche. Directement.
    
    — Ma parole, ça te fout une bonne gaule de voir ta femme se faire astiquer man.
    
    J’avais honte. Mais je laissais faire. Margot me suçait vachement bien. Mieux que d’habitude et elle arrivait à onduler en même temps sur la bitte de Kemb. Il lui claquait doucement les fesses à chaque poussée.
    
    — T’as du pot man. C’est vraiment une baiseuse hors pair ta femme.
    
    Il a accéléré le rythme. Margot sursautait à chaque coup de boutoir. Mais elle me gardait en bouche.
    
    — Putain ! Ça vient, je vais bien te remplir ma Gazelle.
    
    Je n’arrivais plus à retenir moi non plus. Margot a gémi très fort sans lâcher mon sexe. Nous avons joui pratiquement les trois ensemble.
    
    — Vas-y ! Bois à fond ton mec. Lui aussi a le droit de jouir. Puisqu’il aime ça, être cocu...
    
    Margot a tout bu. Je suis sorti immédiatement de sa bouche pour me rajuster. Elle s’est levée. Je n’ai pas pu voir le sexe de ...
    ... Kemb. J’avais honte de ce que je venais de faire avec eux. Margot avait la chatte poisseuse. J’ai tendu un mouchoir vers ma femme.
    
    — Non, laisse. Elle aime sentir mon jus qui coule.
    
    Je ne savais ni quoi dire ni quoi faire. Kemb s’est levé.
    
    — Bon, je vous laisse. Je suis sûr que vous avez plein de trucs à vous dire. Merci pour la soirée.
    
    Il a claqué les fesses de ma femme, n’a pas hésité à lui rouler un patin d’enfer devant moi avant de partir en sifflotant.
    
    Nous sommes rentrés sans parler. Côte à côte comme des inconnus. J’imaginais le jus en train de couler entre les cuisses de ma femme. J’avais été lâche et j’avais participé.
    
    A la maison, elle a été directement dans la salle de bain.
    
    J’ai pris un coussin et une couverture pour m’installer sur le canapé. Je me suis couché en slip. J’essayais de revivre cette soirée complètement folle, mais je n’y arrivais pas. Mon esprit refusait les images.
    
    Margot était dans l’encadrement de la porte vêtue de son déshabillé. Je voyais ses courbes si belles en contrejour. J’avais une boule dans la gorge.
    
    — Tu veux pas venir dormir avec moi Didou ?
    
    Sa voix était si douce, implorante.
    
    — Je préfère dormir ici.
    
    La mienne manquait d’assurance.
    
    — Viens Didou. Je t’en prie... J’ai froid sans toi... Je vais t’expliquer.
    
    — M’expliquer quoi ? Que je suis cocu ? Que ma femme est une salope ? Qu’il paraît que c’est une baiseuse hors pair ?
    
    Je hurlais des mots qui nous faisaient mal.
    
    — T’es qu’une pute ! Tu ...