1. M.A.K. My life.... Ou presque (1)


    Datte: 23/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: ANDRERP95, Source: Xstory

    ... pression ta femme.
    
    Impossible d’ignorer la bosse de sa braguette. Le jean est tendu, écartant légèrement les pans de tissu de sa braguette. Il a remis sa chaise correctement.
    
    — Tu sais que c’est un grand jour aujourd’hui.
    
    Et devant mon air interrogateur, il a ajouté:
    
    — Il y a trois ans jour pour jour, je baisais ta femme pour la première fois.
    
    Il s’est tu une seconde avant de poursuivre d’un air content de lui:
    
    — Et je ne pensais pas que j’allais tomber sur une salope comme elle et un mec comme toi.
    
    Je suis surpris. Non de ce qu’il dit, mais du mot qu’il a employé en parlant de ma femme. Il ne l’avait jamais traitée de salope à ce jour. Il venait de traiter ma femme de salope. Devant moi.
    
    J’avais envie de lui foutre ma main sur la gueule. De lui éclater sa tronche. De lui sauter à la gorge. Mais comme d’habitude, je n’ai rien dit en me sentant rougir.
    
    La musique est à son maximum. La piste juste éclairée par des spots bleus. On voit à peine les danseurs dans la fumée qui sort de l’estrade pour envahir la piste.
    
    — Viens avec moi.
    
    Nous avons traversé le gymnase pour franchir une porte. Deux mecs adossés à un mur ont tenté d’empêcher notre passage. Mais K... les a salués. Il semblait les connaître. Les deux types ont repris leur fumette en nous ignorant.
    
    Un couloir et des salles de chaque côté. Les vestiaires. Très peu de lumières. Certaines portes étaient grandes ouvertes, d’autres entrebâillées. K... s’est tourné vers moi:
    
    — Tu vas voir ...
    ... mec. T’es pas le seul.
    
    — M... ne craint rien seule ?
    
    — Qu’est-ce que tu crois ? Elle est avec un ami. C’est sans problème.
    
    Au fond du couloir, une porte en métal genre issue de secours. K... l’ouvre. Nous sommes sur le parking. Nuit noire, on ne distingue rien. Nous marchons entre les voitures vers un des coins du parking. Je commence à distinguer des ombres entre les voitures. K... chuchote:
    
    — Tu vas voir. Il y en a qui sont de vraies salopes, bien plus que ta femme.
    
    Nous nous approchons d’un groupe d’hommes dans le coin le plus éloigné. Il y a un blanc adossé au capot d’une voiture. Il semble attendre je ne sais quoi. K... me dit qu’il est comme moi. Que c’est le mari ! Pas un regard vers lui.
    
    Moi je le regarde. Échanges de regards. On se comprend sans parler. Fraternité des cocus dociles.
    
    Nous arrivons près d’un cercle d’une douzaine de noirs. Et là, je vois au milieu du cercle de mâles une femme brune, cheveux assez courts, mince. Elle a sa jupe remontée autour de sa taille et son chemisier blanc complètement ouvert.
    
    Les hommes la cernent et la serrent au plus près.
    
    Elle n’a plus de soutien-gorge ni culotte. Ils sont nombreux autour d’elle à la palper. Ils lui malaxent les seins. Lui écartent les jambes. Lui fouillent le sexe. Elle se laisse faire cambrer, haletante. Je reste sidéré par ce que je vois. Elle a des bas noirs. Seins, sexe et cul à l’air. Comme dans un film porno de dernière zone.
    
    Le mari ne dit rien. Se contente de regarder d’un ...
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