1. M.A.K. My life.... Ou presque (1)


    Datte: 23/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: ANDRERP95, Source: Xstory

    ... soir-là, elle était à poil. Lovée contre moi en train de me léchouiller l’oreille tout en caressant mon pubis. Mais impossible de bander et elle s’en est vite aperçu.
    
    — Tas pas envie Chéri. Ils dorment.
    
    — Excuse-moi j’ai mal à la tête.
    
    Généralement, ce sont les nanas qui disent ce genre de trucs. C’est tout ce que j’avais trouvé.
    
    — C’est pas grave Didou. Mais tu t’en vas trois jours et j’aurais mes règles quand tu reviens.
    
    Elle s’est décollée de moi pour se tourner. Magnifique chute de reins. Un cul à damner un saint. Cul qu’elle a toujours refusé de me donner.
    
    — Bonne nuit chéri...
    
    Inutile de vous préciser que je n’ai pas fermé l’œil.
    
    Et en plus, je devais partir en déplacement pendant trois jours dès le lendemain.
    
    Est-ce que les cocus de cette communauté se rappellent des tourments qu’ils ont endurés pendant cette période si particulière qui sépare le doute de la certitude ?
    
    FATALISME TROIS
    
    Il fallait que je sache si elle me trompait. Je n’osais pas lui parler. Alors j’ai espionné Margot pendant un long mois. J’ai tout fouillé dans la maison. Même son téléphone et son internet. J’avais honte de mon comportement. J’ai lu tous ses papiers, son courrier. J’ai retourné ses vêtements. J’ai senti ses sous-vêtements sales.
    
    En déplacement, je l’appelais dix fois par jour. J’ai même prétexté un déplacement bidon pour surveiller ses allées et venues.
    
    Rien. Rien de rien. Aucune preuve.
    
    Et entre les enfants, les courses, les repas, le ménage et ...
    ... l’association dont elle s’occupait, elle n’était jamais seule, et personne ne venait à la maison à part ses amies.
    
    Au lit, j’étais déplorable. Elle ne comprenait rien. Je lui ai dit que j’avais de gros soucis au boulot. Elle y a cru.
    
    Au bout de deux mois, j’ai été convaincu que ce que j’avais entendu à la fête foraine ne pouvait pas concerner Margot et que je devais me faire pardonner. Le jeudi, je téléphonais à mes parents pour leur proposer de garder les enfants tout le W. E. Bien entendu, ils étaient heureux comme tout d’avoir les bouts de choux quarante-huit heures.
    
    Vendredi soir, j’invitais ma femme au restaurant.
    
    — Et les enfants Didou ?
    
    — Chez mes parents.
    
    — C’est vrai.
    
    — Oui chérie. Fais-toi belle.
    
    Allongé sur le lit, je la regardais se maquiller en slip et soutien-gorge. Elle était magnifique. Elle a enfilé par la tête une robe légère qui lui arrivait bien au-dessus du genou.
    
    — On voit un peu ta culotte chérie.
    
    — Zut... Les autres sont encore plus sombres.
    
    — N’en mets pas.
    
    Elle me dévisagea les yeux ronds.
    
    — T’es fou Didou !
    
    — Pourquoi on l’a déjà fait. Vas-y fais le.
    
    — T’es malade à nos âges voyons. Tiens, tu m’excites à parler de ça. Oh et puis zut !
    
    Ma femme a passé ses mains sous la jupe en se tortillant et a baissé sa culotte pour me la jeter.
    
    — Voilà! t’es content ?
    
    J’ai porté le fin tissu à mes narines. Il était déjà imprégné de ses odeurs intimes. Terriblement bandant !
    
    — Super ma douce.
    
    Nous sommes ...
«12...567...10»