La correctrice (3) - Histoires de Sexe

La correctrice (3)

... fait en ce moment.

Quand il jouit dans mon cul, ma Maîtresse jouit et je suis droit après. Ces trois orgasmes mettent à mal nos forces. Si on me remet mon manteau, ma laisse, c’est Jacques qui me conduit chez moi en compagnie de ma Maîtresse. Une fois dans mon logis, on m’assoit, on me sert un verre et c’est ma Maîtresse qui s’y colle.

— Merci Jacques. Je te suis très reconnaissante d’avoir forcé le destin.

— C’est que j’en avais marre que tu vives seule. Marre de te savoir seule, sans plus d’amour ni de plaisir. Quand Annick m’a envoyé son manuscrit, y a de ça un bon mois, j’ai beaucoup hésité avant de te le remettre. Y a juste que je ne savais pas comment t’allais le prendre.

— Maintenant tu sais. Dites, tous les deux, on ne va pas en rester là comme des cons j’espère ?

— J’attendais ta question. De toi seule dépend la suite, ma petite chienne.

— Ô ma divine Maîtresse, je veux voir votre livre publié, je veux que ses ventes explosent. Je désire même que vous en écriviez un sur nous et avec moi. Et même sur nous trois si Jacques est d’accord. Cela dit, sans nos vrais noms.

— Pour ça, fais-moi confiance, ma délectable petite chienne.

— Désolé, nous dit Jacques, mais je ne suis pas étanche.

— Attends, je viens avec toi.

Je prends la main de mon patron. Il pense aller dans mes w.c., c’est perdu. Dans la salle de bain, je le pousse dans ma cabine de douche et, à poil, je me glisse entre ses jambes en lui sortant son sexe. Son prépuce sur mes ...

... lèvres, je le fixe dans ses yeux. Il me sourit et se libère de son trop-plein d’urine dans ma bouche et partout sur mon corps. Ma Maîtresse le remplace juste après qu’il en a terminé. Puis ce couple démoniaque me lave tout en tendresse et c’est réellement que du plaisir pour leur nouvelle et docile soumise.

Dès mon arrivée dans mon bureau. Je me sens totalement différente que la veille. Mademoiselle est rentrée chez elle pour régler une petite affaire. Jacques doit passer se faire tailler une pipe comme il le dit si joliment. Je suis déjà très impatiente de le sucer. Cela dit, je refais ma liste. Si je ne voulais pas être dans une partouze, désormais, c’est ce que je voulais, me faire défoncer.

Quand il arrive. Je me précipite à ses pieds. Assise sur mes talons, mes mains derrière ma tête, la bouche ouverte et la langue sortie, il n’a plus qu’à m’enfoncer son pénis dans ma bouche offerte. Il précise que si je lui mordille sa queue, il me fessera durement. Dans ma tête, un long oui se fait jour. Après quelques délectables sucions sur ce vit, de non moins merveilleux coups de langue, je lui griffe très légèrement son gland de mes dents. Sans perdre une seconde, il me couche sur ma table de travail et me fesse cruellement. Putain que ça me fait un bien fou. Chaque baffe sur ma croupe raisonne de mes pieds à ma tête. Je sais que je vais jouir et j’en suis même impatiente. Cela survient quand il m’enfonce d’un coup sec, son pouce dans mon cul de salope. Il me muselle d’une main ...