1. Petite chronique médiévale


    Datte: 16/01/2023, Catégories: fh, extracon, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ses cuisses, la faisant vite bêler de jouissance. Comme lécher n’est pas baiser, Frédégonde eut droit ensuite au même traitement. Délice que de laper ce jus frais, jeune et odorant, que de provoquer ces premiers émois et soubresauts !
    
    N’y tenant plus, le Comte enfila Hermine et amena sa fille à califourchon au-dessus d’elle afin de continuer de lui laper l’entre-fesses. La jeune femme avait ainsi le ventre labouré en cadence et juste devant les yeux le joli con de sa fille jutant sous les coups de langue avisés du jeune noble. N’y tenant plus, elle voulut goûter elle aussi et s’empara du petit bourgeon que le Comte avait délaissé pour une rosette plus accessible.
    
    — Oh ma mère, oh Monseigneur, répétait la pucelle, c’est trop bon, je défaille !
    — Prompte au plaisir, ce sera une merveilleuse amante, commenta Albéric.
    
    Rompu aux actes d’amour, il bascula sur le dos et Hermine s’empala aussitôt pour combler le vide qui venait de se créer. Il positionna Frédégonde pour qu’elle offre sa vulve à sa bouche avide, sa langue pénétra aussitôt le con vierge, tirant des hoquets de bonheur à la pucelle. L’une comme l’autre dégoulinait sur le Comte, qui sur les couilles, qui dans la bouche. Alors l’amant fourra sa langue aussi loin que possible dans la rosette de la jeune fille et son majeur dans celle de la maman. Toutes deux braillèrent d’un même orgasme que cette double intrusion venait de provoquer.
    
    Quand on tient un avantage, il faut savoir le pousser plus loin. Albéric ...
    ... positionna Hermine à quatre pattes, et engouffra son dard dans la rosette ainsi offerte. Pour faire bonne mesure, il ordonna à Frédégonde de se tenir près de sa mère pour la faire bénéficier de ses doigts agiles. Miaulements et couinements s’ensuivirent et Hermine fut ravagée par un puissant orgasme. Il confia son dard aux bons soins de sa fille, le temps qu’elle recouvre ses esprits.
    
    — Oh, Monseigneur, par pitié, je veux que ma fille connaisse à son tour le bonheur d’être transpercée par votre merveilleuse épée. Si d’aventure elle devait, comme ça m’est arrivé, perdre son pucelage sous les assauts d’un rustre sans le moindre égard, j’en serais fort marrie.
    — Mais elle, qu’en dit-elle ? Est-ce bien l’opportunité ? Vous me confiez là un bien curieux droit de cuissage…
    — Oh oui, Monseigneur. Donnez-moi autant de bonheur qu’en ressent ma chère mère. Je veux enfin connaître cette jouissance.
    — Fort bien, dit Albéric ravi de l’aubaine, alors en position, Mademoiselle, sur le dos et cuisses écartées.
    
    L’homme fourra son visage aux allures grecques entre les cuisses de la jeune fille, préparant savamment le terrain. Elle connut un, puis deux puissants orgasmes, rien que par le fait de sa langue et ses doigts, tandis que la maman s’escrimait à préparer au mieux l’attirail du noble amant, branlant palpant et suçant avec une excitation nouvelle. Quand la petite parut à point, ruisselante et perdue dans les limbes de la volupté, le Comte approcha son dard de la grotte inviolée et ne ...
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