1. Petite chronique médiévale


    Datte: 16/01/2023, Catégories: fh, extracon, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... donna qu’un léger coup de reins pour rompre la membrane virginale. Frédégonde n’eut qu’un petit cri, puis laissa le puissant membre l’envahir en repoussant ses chairs délicates. Le Comte s’arrêta alors, la regarda dans les yeux :
    
    — Te voilà femme à présent. Rends-toi digne de la noble queue qui t’honore et prends plaisir à lui faire donner toute sa semence.
    
    La jeune fille entoura son premier amant de ses quatre membres et se laissa bourrer jusqu’au moment suprême. Hermine, agenouillée devant la couche, suçait les bourses du mâle qui dépucelait sa fille et plantait ses doigts dans les deux rosettes qui béaient devant ses yeux. Dans la tête de Frédégonde, c’était comme si toutes les trompes des chasseurs et les cloches de l’église résonnaient ensemble, alors qu’un malandrin faisait claquer de plus en plus vite la lourde porte de la chapelle. Elle fut tétanisée bien avant que le Comte ne se fût rendu, totalement crispée à son torse, si bien qu’il put se mettre debout sans même la tenir :
    
    — Vois la catalepsie de ta jouisseuse de fille, dit-il à Hermine. Profites-en pour lui ouvrir le cul et me caresser le dard depuis son intérieur. Car je lui prendrai son autre virginité tout à l’heure.
    
    Hermine s’empressa d’onguents subtils et de doigts agiles, ce qui ajouta au délire de Frédégonde qui poussa un interminable hurlement de louve à la pleine lune. Alors le Comte s’assit au bord du lit et s’empara à pleine main du blanc fessier, faisant tressauter la belle sur son pieu. ...
    ... Poupée de chiffon, elle dut perdre en partie connaissance et se laissa manipuler comme un pantin désarticulé, retourner vers sa mère à qui l’amant ordonna de masser les bourses et d’astiquer le bouton d’amour. Frédégonde revint à elle juste pour pousser un dernier hurlement, lorsque d’interminables jets de semence brûlante lui fouettèrent les entrailles. Albéric reposa délicatement le pantin sur la couche pendant qu’Hermine lui faisait une toilette complète de sa langue agile.
    
    — Tous ces émois m’ont donné grand faim, tonna le Comte.
    
    Odeline, la soubrette, apporta des plateaux de viandes, de fruits et de pain, des carafes de vin, les yeux exorbités devant le trio nu qui ne laissait aucun doute sur ce qui se passait. Le Comte la trouva gironde, glissa un doigt dans son décolleté, passa une main sur le puissant fessier et lui ordonna de rester et de quitter ses frusques.
    
    — Oh, Monseigneur, protesta Hermine un peu jalouse.
    — Quoi, Dame Franchaud ? Apprenez que cette maison est mienne, construite par mon défunt père pour y loger son intendant. Lors, tout ce qu’elle contient m’appartient. Et vous m’avez attisé les sens, vous et votre fille, au point que, d’ici au lever du jour, je n’ai point l’intention de fermer les yeux sans avoir copulé tout ce qui peut l’être.
    
    Odeline était d’un autre modèle que ses maîtresses. Courtaude, dodue à souhait, elle avait la cuisse épaisse, le cul fort généreux et la mamelle lourde et dilatée. De plus, une fois nue, elle sentait fort la ...
«12...567...17»