1. Petite chronique médiévale


    Datte: 16/01/2023, Catégories: fh, extracon, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... aurait deux pour le prix d’une parce que je lui serais toute dévouée s’il devenait mon gendre.
    
    Bizarrement, le Comte restait vêtu alors qu’à l’habitude il était toujours le premier nu à attendre sa proie.
    
    — Eh bien, Monseigneur ? Quelque chose vous empêche ?
    — Juste l’égalité, Madame, que Frédégonde nous offre ses trésors à contempler. Je me sentirais inconvenant si je devais me montrer nu tandis qu’elle resterait cachée.
    — Allez, ma chérie, montrez-vous au Comte sans crainte, prenez exemple sur votre mère.
    
    La jeune fille s’exécuta en rougissant, tandis qu’Hermine servit de femme de chambre à son seigneur.
    
    — Ventrebleu, s’écria-t-il ! Mais c’est… l’œuvre d’un copiste italien. Je n’ai jamais vu deux beautés aussi identiques.
    
    Il les prit toutes deux par une main pour les faire tourner sur place, comparant les deux corps avec autant de ravissement que d’étonnement. Son sexe attestait du plaisir qu’il prenait à cette contemplation, prenant proportions et ascendant. Certes, Hermine avait la hanche un peu plus forte, le ventre un soupçon plus formé, les seins un tantinet plus lourds. Mais à part ces détails à peine perceptibles, les deux femmes étaient identiques et également appétissantes. Frédégonde était Hermine seize ans plus tôt, juste avant qu’elle n’épousât Franchaud.
    
    Les mains du Comte s’égarèrent, il compara le grain des peaux, la fermeté des seins et des fesses puis enlaça les deux belles dans ses bras puissants et les embrassa tour à tour à pleine ...
    ... bouche. Frédégonde faillit s’étouffer, émit un petit cri quand la main du Comte s’enfonça dans sa raie culière, alors que sa mère ne proféra qu’un ronronnement de chatte en chaleur. Hermine se laissa alors glisser, frottant ses seins tout le long du corps d’Albéric, et lui empoigna délicatement le vit qu’elle emboucha en le masturbant vigoureusement.
    
    — Oh ma mère, mais que faites-vous ? s’exclama Frédégonde.
    — Hum… Venez me rejoindre, ma fille, venez goûter à ce somptueux bâton d’amour, qu’il soit bien roide avant que de me pénétrer.
    
    La jeune fille goûta d’une langue hésitante puis copia sa génitrice qui la conseilla fort méticuleusement.
    
    — Ouvre bien grand la mâchoire, que les dents ne le blessent pas, mais ferme bien tes lèvres en aspirant doucement… Oui, c’est bien ainsi. Et maintenant, agite bien ta main de bas en haut en serrant fort tes doigts. Tu le sens palpiter ?… Là, oui, c’est bien… Ne cesse pas de sucer et de lécher en tournant ta langue autour… Et utilise ta main libre pour caresser les bourses, doucement c’est fragile, mais il faut presser quand même un peu… Voilà, regarde ses yeux pour trouver la juste mesure.
    
    Le Comte était aux anges de servir ainsi de cobaye aux deux beautés dont, depuis sa position élevée, il pouvait admirer tétons et cambrures. Le spectacle était si réjouissant qu’il sentit bientôt ne pas pouvoir se retenir très longtemps, il fallait un dérivatif. Il releva alors Hermine et la poussa au bord de la couche, puis fourra sa tête entre ...
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