Petite chronique médiévale
Datte: 16/01/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
hdomine,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... limitant ses larcins.
— Voyez Franchaud, quand vous voulez, c’est beaucoup mieux !
Alors le jeune Comte espaça ses visites aux grands regrets d’Hermine. Mais il est vrai qu’avec son physique et sa position, il avait bien d’autres chattes à fouetter et ne s’en privait pas. Hermine Franchaud était certes bien tournée, mais elle était roturière, mariée et mère de surcroît. Albéric était un cœur à prendre et attisait nombre de convoitises de la part de la noblesse alentour. On l’invitait beaucoup, on le visitait aussi, on lui présentait la fille chérie qu’il serait susceptible d’épouser.
Mais comment épouser sans avoir essayé ? Le principe de virginité jusqu’aux noces s’opposant à l’essai de la jeune fille, le plus proche échantillon du produit n’était autre que la maman. Albéric se lança donc dans une grande tournée de troussage des mères qui, faut-il le dire, étaient ravies d’offrir un aperçu de ce que pouvait être leur progéniture, surtout avec un tel Apollon. Le jeune Comte ne savait plus où donner de la queue, et toutes lui promettaient que, s’il épousait la fille, il bénéficierait en prime des charmes de la mère à perpétuité. Ainsi, durant une longue période, les Franchaud furent assez éloignés de ses préoccupations, jusqu’à ce jour maudit où le tribut reçu le fit sortir de ses gonds.
-o-o-o-o-
Albéric sauta de son cheval pas encore arrêté et franchit la porte des Franchaud en hurlant :
— Où es-tu, maudit régisseur, que je te coupe les oreilles en pointe ...
... !
Il n’entendit qu’une porte claquer et ne vit pas la silhouette du Franchaud s’esquiver dans les broussailles comme un gibier de chasse à courre. Seules les deux femmes relevèrent le nez de leurs tapisseries qu’elles cousaient devant la fenêtre.
— Monseigneur, mais que se passe-t-il, demanda timidement Hermine en posant son ouvrage ?
— Il se passe, Madame, que comme à l’habitude, mais cette fois plus que jamais, votre mari me vole éhontément. Mais je sais bien que vous n’y êtes pour rien. Pardonnez cette entrée peu courtoise. Donnez votre main que je la baise avant de vous baiser…
— Oh Monsieur, pas de tels propos devant ma fille !
— Par tous les saints, est-ce là votre fille ou est-ce votre jumelle ? Je crois être ivre et vous voir double.
— C’est bien ma fille, Frédégonde. Venez saluer Monsieur le Comte, ma chérie.
— Monseigneur…
— Diantre, quelle beauté, égale à la vôtre. Eh bien, puisque votre époux a dû fuir en m’entendant arriver, allons donc visiter vos appartements.
— C’est que… ma fille…
— Quoi, mais ce n’est plus une enfant et il me semble temps pour elle d’être informée des choses de la vie. Allons, venez donc toutes deux.
Ils grimpèrent à l’étage et, bien qu’un peu gênée par la présence de sa fille, Hermine posa ses atours un à un. Au fond, elle n’était pas mécontente que le Comte s’intéressât aussi à sa fille. N’échappant pas à la règle elle se disait :Après tout, qu’un noble épouse une roturière, ça s’est déjà vu. Et puis en plus, celui-là en ...