1. Petite chronique médiévale


    Datte: 16/01/2023, Catégories: fh, extracon, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... m’en, même bouche fermée, il n’est point de comparaison entre votre corps et celui d’une soubrette, je puis en attester. La finesse de vos attaches, la longueur de vos membres, votre port altier même en entrant dans l’onde, et puis ce je ne sais quoi qui vous fait dominer le monde, vous n’avez rien de commun avec ces formes lourdes attachées à la terre. Elles côtoient l’animal, vous côtoyez les anges.
    — Qu’il est charmant ce petit Comte et qu’il tourne bien le compliment. Qu’il est endurant également, car pendant tout ce temps vous n’avez cessé de prouver que je vous plaisais. Serait-il inconvenant, n’ayant plus de témoins que dans une alcôve, de vous demander de tenter de mettre mon corps en émoi autrement que par des mots ?
    — Madame, j’en suis tout bouleversé, mais n’y vois aucune inconvenance. Qu’il soit fait selon votre souhait.
    — Je vous aurai prévenu que je ne suis guère sensible aux choses du sexe, mais sait-on jamais. L’instrument n’a peut-être pas trouvé son virtuose, et plutôt que de m’acheter dans un souk de Tanger, une union serait moins dispendieuse. Pour la chasse, c’est parfait, votre conversation m’enchante, voyons si Cupidon accepterait de nous accorder ses grâces.
    
    La Duchesse n’eut pas le temps de commenter encore ce qui pouvait les lier ou les séparer, une bouche gourmande vint capturer la sienne et une langue fureteuse y entra l’explorer. La belle faillit en perdre le souffle, mais un curieux instinct la fit s’enlacer au cou de son partenaire. ...
    ... Sans même qu’elle l’eut souhaité, son corps tout entier chercha à se lover contre le poitrail puissant de son assaillant qui l’entoura à son tour de ses bras robustes. Les grosses mains rugueuses parcouraient sa peau, tirant çà et là de curieux frémissements.
    
    Et puis cette bouche qui se dégagea, parcourut le cou allant jusqu’à la nuque, redescendit soudain vers les tétons dressés qu’elle goba, aspira les gonflant plus encore. Des lèvres implacables pincèrent les tétins qu’une langue râpeuse fouettait et torturait. Alix se cambra, souple comme un roseau, offrant au sacrifice ses mamelles pointées. Elle se retenait et se mordait les lèvres de n’avouer déjà que son corps appréciait. La bouche descendait, suivant le sillon de son ventre musculeux et s’arrêta un temps dans la cuvette sensible du nombril.
    
    Mais déjà une main possessive s’emparait du buisson, y glissait les doigts, en ouvrit le sillon, titillant la crête plissée des petites lèvres qui saillaient d’entre les grandes. Un incendie se déclencha dans le ventre plat et les premiers soupirs brisèrent sa retenue. Ces mains infernales cerclèrent sa taille fine, parcoururent ses hanches, distendirent ses fesses et ouvrirent largement ses cuisses. Le souffle brûlant de désir atteignit ses chairs intimes, plus brûlant que les rais du soleil, juste avant qu’une langue diabolique d’agilité les lape de bas en haut. Elle allait chercher loin son élan, jusqu’à la rosette serrée qu’ils évoquaient un instant auparavant, ce qui lui ...
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