1. Petite chronique médiévale


    Datte: 16/01/2023, Catégories: fh, extracon, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Faites donc de même et offrez votre corps au soleil et à ma vue.
    — Bien sûr, mais… C’est que…
    — Quoi donc ? Seriez-vous gêné par ce qui gonfle vos chausses ? Laissez-moi donc voir si vous m’appréciez vraiment.
    
    Le jeune homme s’exécuta, et c’était bien la première fois de sa vie qu’il se sentait ainsi s’empourprer devant une dame. Oui, il bandait comme un cerf en période de brame et il dut exhiber son vit palpitant à l’appréciation de la Duchesse.
    
    — Hum… Un beau mâle, en effet ! Et, dites-moi, cette puissante épée de chair, en a-t-elle beaucoup pourfendu de féminins connets ?
    — Quelques-uns en effet…
    — Narrez-moi, mon cher, narrez-moi. Les histoires licencieuses, pourvu qu’elles ne soient pas vulgaires, me mettent en émoi et m’échauffent les sens.
    
    Albéric conta par le menu sa récente aventure chez son régisseur, provoquant chez son auditrice des « Oh ! » et des « Ahhh ! » tandis qu’elle se titillait les tétins et caressait son buisson.
    
    — Mais, dites-moi, bel étalon, je ne doute pas de votre vigueur, mais n’est-ce pas un peu enjoliver l’histoire que de prétendre avoir autant troussé l’espace d’une journée et d’une nuit ?
    — Que Dieu m’en soit témoin, Madame, je n’exagère point la vérité. J’ai honoré ces trois dames chacune leur tour à la fois par le devant, mais aussi par le derrière.
    — Comment cela ? Vous voulez dire… par là où… Mon Dieu !… Est-ce possible ?
    — Ma foi, Madame, imaginez un peu. Si toutefois le royaume de Sodome n’avait point donné exemple, ...
    ... quoi qu’en dise l’Église, pour trouver du plaisir aux choses du sexe, toute femme serait grosse de son adolescence jusqu’à sa mort, prématurée sûrement par tant de maternités.
    — Ah l’Église, ne m’en parlez point, je pense à mon jeune frère qui doit connaître ces tourments. Mais je ne conçois point que tel mandrin puisse s’installer dans si étroit conduit.
    — Si étroit, en êtes-vous si sûre ? Ne vous arrive-t-il point de devoir laisser passage à quelques forts déchets ? Et quant aux tourments, il apparaît fort évident que sans y trouver son compte ce penchant n’existerait point.
    — Ainsi vous prétendez… Ma foi, étant intrépide de nature, j’en suis aussi curieuse, mais pas vraiment convaincue.
    — Il suffit du bon onguent et de beaucoup de patience, mais d’aucunes, et d’aucuns peut-être, en tire bien des joies. L’on dit même que la pratique est courante en terres africaines, aux dires de certains croisés.
    — Oh ! En parlant d’Afrique, savez-vous ce que l’on dit ? Que des bateaux mauresques accosteraient nos terres, faisant dans l’alentour de brèves expéditions, qu’ils nomment, je crois, « razzias », au cours desquelles ils capturent des femmes de toutes origines pour les revendre, attachées nues, dans des marchés sordides ?
    — J’ai ouï dire en effet que de telles pratiques existaient. On dit même que le prix d’une noble dame est bien supérieur à celui d’une souillon.
    — La duperie est aisée. Une fois nue, dites-moi la différence entre une duchesse et sa servante ?
    — Madame croyez ...
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