1. Petite chronique médiévale


    Datte: 16/01/2023, Catégories: fh, extracon, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique, historiqu, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... Sauf que je visais le premier et c’est le second qui est touché.
    — Ce n’est pas grave, c’est un bon début. Il n’est pas facile d’estimer leur vitesse et les canards sont rapides, bien plus que les perdrix ou les faisans.
    — Bien, je n’ai plus qu’à aller le chercher maintenant. Je ne vais pas laisser ce trophée pourrir dans l’eau et souiller cet étang.
    
    Elle retira ses bottes, son justaucorps de cuir et ses chausses, apparaissant nue aux yeux ébahis du jeune homme. D’un geste d’une grâce inouïe, elle attacha ses cheveux au sommet de sa tête et entra dans l’eau. Albéric n’avait jamais vu telle grâce féline. Des membres longs et fins sur lesquels on pouvait compter les muscles un à un, sans une once de graisse, des seins assez petits, mais fermes et projetés en avant par la musculature sous-jacente, des fesses pommées avec deux larges creux sur les côtés et deux fossettes plus petites juste au-dessus. À chaque mouvement, cette belle musculature changeait de forme, roulant sous la peau mate et légèrement hâlée.
    
    Il resta là, bouche bée à la regarder s’enfoncer dans l’eau sombre jusqu’à la poitrine, puis nager sur les derniers mètres. Elle revint triomphante avec le cadavre du volatile. Dans le soleil, les gouttes d’eau nimbaient son corps de centaines de perles étincelantes. Il se saisit de la nappe et l’enveloppa promptement, parcourant ce corps sculptural de douces caresses pour le sécher.
    
    — Tout doux, mon gentil Comte, il me semble que vous en profitez.
    — C’est ...
    ... que… Il serait stupide d’attraper un refroidissement sur le déjeuner, répondit-il la gorge serrée par l’émotion.
    — N’ayez crainte, je suis robuste. Posez donc cette nappe sur l’herbe et laissons faire le soleil. Il n’y a rien que j’aime autant que de me laisser caresser par ses rayons.
    
    Elle s’étendit lascivement sur la nappe, paupières mi-closes, goûtant les rais dardés par l’astre du jour jusque dans les endroits les plus secrets de son corps.
    
    — Eh bien, Monsieur, cherchez-vous à attraper quelques mouches de votre bouche ouverte ?
    — Je… Non… Vous… vous êtes si merveilleusement belle, je n’ai jamais vu telle perfection…
    — Ça, c’est très aimable, mon ami, mais peut-être un peu excessif pour être vraiment sincère.
    — Je vous assure que c’est pure vérité. Mais d’où tenez-vous une peau si uniformément brune et ces toisons d’un noir corbeau, questionna-t-il, ne pouvant détacher ses yeux du buisson triangulaire encore luisant de gouttelettes ?
    — De ma mère, je suppose, mais vous ne l’avez pas connue. Elle était issue de la maison d’Aragon, au Royaume d’Espagne, et je lui ressemble fort, dit-on. Sauf qu’elle passait des heures à s’enduire d’onguents et de poudre pour rendre son teint plus blanc, comme il convient, alors que moi, je m’expose au soleil qui me donne une peau de paysanne. Mais qu’importe, je n’ai aucune envie de m’enterrer à la cour.
    — Comme je vous comprends.
    — Mais, dites-moi, mon gentilhomme, il n’est pas très équitable que vous soyez seul à me contempler. ...
«12...111213...17»