Doutes et rédemption
Datte: 10/01/2023,
Catégories:
ff,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
intermast,
fouetfesse,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... son aine. L’odeur de son sexe revient me titiller les narines.
C’en est trop ! Je me relève et me colle à elle. Je l’étreins. Je me frotte à son ventre. Je me soude à ses seins. Je presse ses fesses. J’attire sa nuque. Je veux sa bouche. Toute l’excitation qui m’avait abandonnée me reprend et m’embrase. Je veux l’embrasser, la baiser partout, ses lèvres, ses joues, ses yeux, ses épaules, ses tétons, son nombril, sa touffe, ses cuisses, son sexe.
Je glisse à ses pieds. Je remonte vers sa poitrine. Je vais, je viens. Je parcours tout son corps pulpeux. Je lèche. Je tète. J’aspire. J’en perds le souffle. Elle rit, elle est heureuse. Elle me rend mes caresses, sans hâte, posément, affectueusement. Je chavire. Je suis toute molle dans ses bras. Son regard se rive au mien.
— Tu m’aimes tant que ça, Colette ?
— Je ne sais pas, oui, peut-être, sans doute. Je ne veux pas savoir. Je suis bien avec toi. Je ne veux pas que ça s’arrête. C’est trop bon, c’est tout !
— Ma chérie ! Je t’adore, mais le soleil va bientôt se coucher. Il faut penser à rentrer.
— Oh, Chantal, restons encore un peu ensemble. Encore une fois, tu veux ? J’ai envie.
Je l’entoure de mes bras. Je lui fais de petits bisous dans le cou. Je la câline. Je presse ses fesses. Je passe mes mains sur ses seins. Je les suce. Mes doigts descendent entre nos ventres. J’effleure son pubis. J’ébouriffe ses poils. Mon index glisse entre ses lèvres.
— Toi aussi tu as envie, Chantal. Caressons-nous. Ce serait trop ...
... bête de nous quitter.
Sa main rejoint la mienne, se plaque sur ma chatte. Mes doigts s’agitent sur la sienne. Le bras libre de l’une enlace le dos de l’autre. Nos seins s’épousent et s’écrasent. Nos bouches se trouvent et s’entrouvrent. J’aspire sa langue. Je lui donne la mienne. Nous nous pénétrons ensemble. Je suis aux anges.
Promenade au bois
J’ai promis à Colette d’être très douce lorsqu’elle m’a présenté ses fesses. Elles sont brûlantes, les pauvres, et je me reproche mon irresponsabilité. Je les caresse du bout des doigts en étalant l’eau de la gourde. Je mets tout mon cœur à réparer les dégâts que j’ai causés. La douleur physique passera vite, les rougeurs commencent à s’estomper. Mais je ne voudrais pas que ce moment d’inconscience brise notre amitié.
Je me concentre pour prodiguer mes soins de façon aussi neutre que possible, au point d’en oublier les frémissements de désir qui m’avaient titillée. Le geste soudain de Colette pour se serrer affectueusement contre moi me réchauffe l’âme et les sens. C’est comme si ma poitrine se libérait d’un grand poids et qu’elle s’emplisse d’un surcroît de tendresse.
En me penchant pour lui dire combien j’en suis heureuse, je vois sur son dos les traces de ma folie encore humides. Elle me taquine pour ça et je n’ai qu’un moyen pour lui prouver ma bonne volonté. Je l’enlace à mon tour et je lèche avec plaisir ce mélange âcre de cyprine et de transpiration. Plus de sueur à elle que de mouille à moi, d’ailleurs, mais je ...