1. Doutes et rédemption


    Datte: 10/01/2023, Catégories: ff, forêt, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, intermast, fouetfesse, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... frémissante. Ses fesses, au contraire, sont étonnamment décontractées. Elles accueillent sans résistance les secousses les plus rudes. Mes paumes et mes doigts s’en réjouissent. Pourtant, je devine – non, je comprends – qu’elle attend autre chose, qu’elle voudrait que je reprenne aussi mon rôle.
    
    — Alors, tu croyais avoir été assez punie, vilaine fille ? Eh bien, détrompe-toi, tes fesses ne sont pas encore assez rouges !
    — Sniff ! Non, sniff ! Pardon maman. Je le sais, répond mon incorrigible avec délectation.
    
    Je continue, donc, à lui tanner le postérieur, puisque ça lui fait si plaisir. D’autant que ça m’en donne aussi. Pas simplement de voir son joli cul virer au carmin, mais parce que mes mouvements précipités activent le frotti-frotta de ma chatte contre ses vertèbres. Je dois me rendre à l’évidence, fesser est jouissif. Serais-je en train de devenir sadique ?
    
    Paradoxalement, en me venant à l’esprit, cette question me fait rire. J’ai dû admettre que j’aimais les femmes, il y a déjà quelques années. Ensuite, j’ai découvert qu’un peu de SM dans les jeux érotiques ne me déplaisait pas ni les relations entre jeunes femmes et dames mûres, je le reconnais. Sinon, je n’aurais pas accepté aussi vite de m’embarquer dans cette situation troublante. Et maintenant… Lesbienne, maso, vieille cochonne, perverse et sado, le tableau est complet !
    
    Tout cela passe très vite dans ma tête. Colette ne comprend pas, bien sûr, les raisons de mon amusement. Elle croit que je vais ...
    ... ajouter une ration supplémentaire de claques.
    
    — Pardon ! Pardon maman ! Je ne le ferai plus, je te promets !
    
    Sa voix est plus aiguë, tout à coup. Soit elle joue très bien la comédie, soit elle commence à vraiment s’inquiéter de mon attitude. Quoi qu’il en soit, je suis décidée à mettre un terme à ce divertissement. Je sais qu’il y a des limites à ne pas franchir sous peine de se laisser entraîner l’une comme l’autre au-delà du raisonnable. J’essaie de prendre un ton à la fois conciliant et pas trop éloigné de mon personnage supposé.
    
    — Oui, ma petite chérie, c’est bien. Mais est-ce que tu sais pourquoi je te corrige ?
    — Ben… oui : parce que je me suis touché la minette…
    
    Elle aussi est à mi-chemin entre le rôle de gamine vicieuse et la camarade de jeux.
    
    — Non, ma mignonne… Parce que tu t’es touchée en cachette. Ça, ce n’est pas bien !
    
    Cette fois, c’est Colette qui s’esclaffe. Elle garde sa position humiliante, mais son dos ondule entre mes jambes au rythme de ses éclats de rire. Une autre sorte de frotti-frotta pas moins agréable…
    
    — Ah, ça ! Si on me l’avait dit à l’époque, s’exclame-t-elle, j’aurais vécu une adolescence plus heureuse ! Et si je te réponds que je croyais que c’était mal de se toucher ?
    — Je te dirais que c’est ce qu’on me disait à moi aussi, que crois-tu ? Dis, poursuis-je en redevenant sérieuse, tu n’as pas trop mal, au fait ? Tes fesses sont cramoisies.
    — Non, ça va. Tu n’y es pas allée de main morte, cela dit ! Une sacrée fessée !… Qui ...
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