1. Mon bel ostéopathe


    Datte: 03/01/2023, Catégories: fh, hplusag, asie, médical, cérébral, Oral Auteur: Antoine75010, Source: Revebebe

    ... car je crois qu’il sentait que je me vengeais de son refus, que je « reprenais la main » dans cette affaire, et que toute cette scène relevait bien avant tout de mon amour propre qu’il avait blessé.
    
    Et je le fis jouir comme ça, toujours à genoux devant lui, le branlant et tenant son gland sur ma langue jusqu’à ce qu’il éclate en de puissants jets de foutre chaud. J’essayai de tous les prendre dans ma bouche, mais mon bel ostéopathe fut secoué de spasmes et certaines giclées de son sperme me maculèrent le visage – en un rendu très porno qui ne fut pas pour me déplaire. Je pris soin de n’avaler qu’après lui avoir montré le fruit de sa jouissance sur ma langue, comme dans un souci du travail bien fait, ou voulant lui montrer toute l’application que je mettais à tout bien exécuter dans « les règles de l’art » – et c’est quand je déglutis ostensiblement en le regardant toujours dans les yeux que je le vis enfin sous le jour qui me convenait : assis sur un coin de bureau, le froc sur les genoux et la verge mollissante, tout essoufflé et l’air complètement hagard… là enfin il était descendu de ce piédestal sur lequel mon désir et ma fantasmagorie l’avaient placé et m’apparaissait dans un pathétique ou une vulnérabilité qui me satisfaisait… Moi par contre, je gardai toute ma ...
    ... superbe et ramassai d’un doigt le sperme sur mon visage pour m’en délecter tranquillement. Puis je me relevai et, toujours aussi souverainement (et décidée, je crois, à clore cette scène avec un certain panache), je lui déposai un petit smack sur les lèvres en lui disant juste un « salut, toi ! » que j’accompagnai d’un petit poke sur le bout de son nez ! Et je quittai son cabinet comme une reine, sans me retourner, et résolue à ne plus jamais le revoir…
    
    Je ne sais pas encore trop moi-même ce qui s’est joué pour moi dans cet épisode – mais il est indéniable que le désir de reprendre la main fut plus fort que celui de coucher avec cet homme qui m’avait pourtant fait énormément d’effet. C’est comme ça, un brin effrayant peut-être, mais c’est un fait que décider de la fin de cette aventure comme je le voulais et rétablir ce que cet homme avait déstabilisé (et j’entends par là : le statut que j’ai dans mes relations aux hommes) m’apparut comme bien plus attrayant que la simple perspective d’un rapport sexuel. « Rien qu’une vilaine petite orgueilleuse ! » comme dit toujours ma mère… Oui, sans doute, je le concède ; peut-être pas des plus glorieux comme constat, mais j’assume entièrement la chose, et vu que plus personne ne me changera, je me dis que c’est très bien comme ça. 
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