Mon bel ostéopathe
Datte: 03/01/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
asie,
médical,
cérébral,
Oral
Auteur: Antoine75010, Source: Revebebe
... point de vue que mon bel ostéo devait avoir, impossible que certaines idées ne lui passe par la tête). Une fois pour une manipulation il me fit mettre à quatre pattes sur la table. J’avais bien sûr mis une petite culotte très sage et jouai la fille empruntée très mal à l’aise de prendre cette pose, ne cambrant pas du tout mes reins et faisant au contraire le dos rond, si bien qu’il dut lui-même me faire cambrer d’une main sûre et ferme qu’il posa sur mes reins. Ah… l’état dans lequel j’étais ! Des images toutes plus crades les unes que les autres me passaient par la tête : c’eût pourtant été très simple – il suffisait qu’il baisse ma culotte et sorte sa queue pour me la mettre, comme ça, à la hussarde !,Mais prends-moi, mon beau, prends-moi, je suis offerte ! Défonce-moi sur ta petite table de massage, tu dois bien le sentir que je suis complètement open et que je n’attends que ça !, Mais rien, mon bel ostéopathe officiait d’une façon toujours aussi professionnelle, son beau visage aux traits délicieusement fins ne laissant jamais deviner quoi que ce soit de ses pensées…
Une autre fois, il me manipula en me plaçant allongée sur le dos et en se tenant debout à côté de ma tête pour déposer ses mains sur mes épaules… J’avais la tête à dix centimètres de son entrejambe et je risquai de petits coups d’œil furtifs sur son pantalon… Est-ce qu’il bandait ? Je ne pus le dire… Son cabinet était rempli d’une odeur d’encens subtile et je m’imaginais ces senteurs musquées être celles ...
... de sa queue à laquelle je rêvais de goûter… Ah l’effet qu’il me fit des semaines durant au fil de nos rendez-vous… ce fut terrible ! Souvent la nuit je me caressais en pensant à nos séances, élaborant les scénarios les plus rocambolesques dans lesquels je faisais flancher mon honnête praticien pour nous entraîner tous les deux dans la débauche la plus crue !
Puis vint la dernière séance de ce qui m’avait été prescrit et, à la fin de ce qui allait être notre dernière entrevue, au moment de partir, alors que nous étions tous deux face à face dans son bureau, je lui ai juste dit « je veux vous faire un petit cadeau ». J’avais un ton très calme et décidé, plein de retenue et de dignité. Je suis restée silencieuse face à lui quelques instants, le regardant avec tendresse et simplicité, voulant lui signifier toute l’intensité que je m’apprêtais à donner à mon acte.
Et après peut-être six ou huit secondes, juste avant que la scène ne devienne gênante ou problématique, je me suis tout doucement agenouillée devant lui en le regardant. Et là, là j’ai vu qu’il flanchait – là, j’ai vu ses yeux vaciller et j’ai compris qu’il ne résisterait pas : la proposition que je lui faisais était tout simplementimbattable. Autant une gamine hystérique qui lui saute dessus au premier rendez-vous, ça, il n’en voulait pas – autant une jeune femme posée, digne, qui s’était comportée en patiente raisonnable pendant toutes ces séances, une jeune femme qui travaillait comme journaliste dans un grand ...