Dans le noir tout est permis
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
fh,
grp,
jeunes,
cocus,
copains,
plage,
jalousie,
préservati,
pénétratio,
jeu,
journal,
Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... commençaient à rentrer en moi quand j’ai reculé brusquement de quelques pas, me cognant alors contre Laurent, qui était resté tout près ! Car ce ne pouvait être que lui, ses bras aussitôt autour de moi, ses lèvres dans mon cou, ses douces mains sur mes seins puis l’une en coquille sur ma chatte, comme pour la protéger. Nous sommes restés quelques minutes comme cela. Je lui savais gré de ne pas me caresser, avec lui j’aurais joui trop vite.
La lumière revenue, Thomas arborait, comme un trophée ou un scalp, mon haut de bikini en partie glissé dans son slip de bain. Près de lui se tenait la troisième fille, totalement nue elle aussi. Son bikini gisait sur le sol. Elle avait une toison noire et brillante. Sylvie a éclairé le couloir et elle est partie, en tirant derrière elle David dont elle avait empoigné le sexe, imitant ainsi ce qu’avait fait Sophie peu de temps auparavant. Qu’elle s’en contente, ai-je pensé. Thomas les a suivis, son bras autour de la taille de l’autre fille. Laurent et moi nous fermions la marche, simplement main dans la main.
Ceux qui nous avaient quittés avant étaient allongés sur une serviette de bain, devant la lumière vacillante de la bougie. Le garçon - je me suis souvenu de son prénom : Vincent - était couché sur la fille, ses fesses se soulevaient et s’abaissaient, entraînant dans leur mouvement les chevilles de la fille, croisées sur son dos. J’ai vu que David regardait avec complaisance Sophie, sa petite amie, faire l’amour avec un autre ...
... que lui.Complaisance, le mot ne convient pas. Visiblement, cela l’excitait. Il en oubliait Sylvie, qui cherchait à l’entraîner plus loin. Mais il a fini par la suivre.
Laurent a pris nos serviettes de bain et les a étalées sur le sol, l’une sur l’autre, à côté de Vincent et de Sophie. Je me suis allongée sur les serviettes, les cuisses ouvertes. Il a enlevé son slip en me regardant dans les yeux. Il a pris une capote et l’a placée en un instant.
Comme il me remplissait bien ! Comme il était doux, à peine entré en moi, appuyé sur les genoux et les coudes, et approchant ses lèvres des miennes pour un tendre baiser ! Et comme il devint soudainement déchaîné, me transperçant, me clouant au sol comme un papillon des îles et se soulevant, sortant presque de moi, restant immobile et soudain s’enfonçant à nouveau brutalement. Puis ne bougeant plus du tout alors que j’étais aux bords extrêmes de l’orgasme. Et recommençant à me dévaster, me rendant folle. J’étais sa proie pantelante et j’adorais cela, pensant en moi-même des mots d’amour et ne pouvant à la fin m’empêcher de les lui murmurer.
Il n’en demandait pas tant. Son regard était amusé, ironique presque. Allait-il rester le maître ? Alors qu’il s’était soulevé une fois encore et attendait, guettant sur mon visage ma déception devant l’éloignement des prémices du plaisir, c’est moi qui suis allée à sa rencontre, soulevant violemment mon bassin et capturant ainsi sa verge. Qui de nous possédait l’autre, qui de nous allait ...