Elisabeth s'éveille (7) - Histoires de Sexe

Elisabeth s'éveille (7)

... mouiller.

— Papa...! gémit-elle.

— Oui mon amour ?

— Lèche-moi !

Je souris. J’en mourais d’envie.

Je posai enfin le bout de ma langue sur son clitoris gorgé de désir. Elisabeth poussa un soupir d’aise et émit un petit gémissement. Sa petite chatte s’ouvrit comme une fleur, humide et brûlante. J’y fourrai ma langue et la fis aller et venir dans son petit trou tandis qu’Elisabeth jouissait sous mon intrusion. Bientôt, j’y ajoutai un doigt, puis deux, puis trois, glissant et coulissant dans un délicieux clapotis tant elle mouillait sous mes caresses. Sa peau était moite de chaleur et d’excitation, sa main fouillait mes cheveux et appuyait sur ma tête quand elle réclamait des caresses plus intenses. Ses gémissements emplissaient la cuisine et je la savais heureuse de pouvoir jouir sans devoir se dissimuler.

J’étais là, à genoux dans la cuisine, en train de dévorer la chatte de ma fille, sans risquer d’être interrompu par qui que ce soit.

— Maintenant, descends de là, je vais te baiser.

— Tu ne veux pas que je te suce d’abord ?

J’avisai ses lèvres charnues. Imaginer ma bite entre elles me tendit encore plus. Mais la chaleur de sa chatte était incomparable. J’avais un besoin pressant de m’enfoncer au plus profond d’elle.

— On a tout le week-end, dis-je en la retournant.

Je la cambrai sur le plan de travail, crachai dans ma main, glissai encore deux doigts dans la chatte d’Elisabeth et dirigeai ma bite vers son trou.

J’y entrai délicatement, ...

... centimètre par centimètre, en savourant la sensation d’être comprimé dans sa chatte étroite et offerte à mes désirs. Elisabeth se cambrait, prête à recevoir ma bite, ma fougue, mon amour.

— C’est bon, papa... gémit-elle.

— Ce n’est que le début, mon amour.

Je retirai ma queue et la rentrai brutalement, d’un coup. Elle cria et j’entrepris de profonds va et viens dans la chatte de ma fille. L’entendre me supplier d’accélérer et déclamer à quel point c’était bon décupla ma brutalité. J’aimais l’entendre réclamer ma queue, elle agissait comme je l’aimais - soumise, affamée et insatiable.

Je m’agrippai à ses hanches, ponctuant mes assauts de fessées retentissantes sur son adorable cul, lui tirant les cheveux pour voir son visage rouge et tordu de plaisir.

Je sortis de sa chatte pour aviser les dégâts - dilatée et trempée, elle était un appel au sexe. J’entrainai ma fille sur le tapis, face au canapé, et la couchai sur le dos. Je m’enfonçai en elle en la regardant : ses yeux foncés brillants d’excitation, sa bouche entrouverte et rose...

— Elle est bonne ma chatte, hein papa ? dit-elle d’une petite voix.

— Tu me provoques, salope ! Tu sais bien que oui !

— Alors baise-la, détruis-la, j’attends ça depuis des jours !

J’empoignai ses deux gros seins et m’abaissai pour en prendre un en bouche. Son téton était dur et je le mordillai sans ménagement en même temps que je baisais son trou de jeune salope en manque.

J’attrapai ses jambes, les mis sur mes épaules et ...