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Elisabeth s'éveille (7)
Datte: 26/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Eniluap, Source: Xstory
Je regardais ma femme boucler sa valise. Nue sous son peignoir en satin, elle déambulait dans notre chambre. Allongé sur le lit, nu également, je faisais tout pour arrêter de bander. Anne et moi venions de faire l’amour, profitant de l’absence de nos filles en cette fin d’après-midi. C’est elle qui, pour une fois, avait réclamé une séance de sexe que j’avais été trop heureux de lui offrir. Elle ne partait que pour trois jours mais semblait affamée. Pour ma part, ma libido n’avait jamais été si flamboyante. Et, je dois l’avouer, j’avais pensé à ma fille tout au long de nos ébats. Malheureusement, contrairement à Elisabeth, ma femme ne traînait pas au lit après le sexe. Elle avait sauté dans la douche et s’activait à présent à ranger robes, chaussures et sous-vêtements dans son bagage. — N’oublie pas qu’il y a déjà un plat de prêt pour le dîner de ce soir, me dit ma femme en enfilant une robe légère. — Je sais. — Tu n’as qu’à le réchauffer et... — Mon amour... je suis aussi adulte que toi. Anne sourit et me regarda tendrement. Quand elle me fixait ainsi, je me mettais à penser à tout ce que je lui dissimulais - mon adultère, avec notre fille aînée. — Je crois qu’Emma sera peu présente, il me semble qu’elle dort chez une copine demain soir ! ajouta-t-elle. — D’accord ! Mon cerveau se mit furieusement en marche : demain soir, nous étions samedi. Ce qui me laissait la soirée, la nuit et la matinée du dimanche seul avec Elisabeth. — Je pense qu’Eli ne va ...
... pas se priver de mon absence pour sortir également, soupira ma femme. Tu ne risques pas de beaucoup la voir. Surtout ne la laisse pas aller et venir comme elle veut, en buvant autant qu’elle le fait... Je souris. Le seul qui risquait d’aller et venir comme il voulait, c’était moi, et dans sa petite chatte serrée et humide. — Je suis sérieuse, Ivan ! insista Anne. Elle croit que je suis ainsi pour lui pourrir la vie mais c’est pour son bien. Les hommes sont tellement... Elle ne termina pas sa phrase et je piquai un fard. — Je n’imagine même pas comment ils doivent la regarder quand elle est en soirée. Moi, je l’imaginais très bien même si ça me rendait malade. Ils la regardaient comme je la regardais - avec désir. — OK, chef ! fis-je pour la faire taire. Tout est son contrôle. Elle me sourit, termina de se préparer et me fit signe d’emmener sa valise dans la voiture. Je m’exécutai, impatient et honteux de la voir partir tout en sachant comme ce week-end allait se dérouler. — Embrasse les filles pour moi. — Je n’y manquerai pas. À dimanche soir, mon amour ! Je l’embrassai et fermai la portière de la voiture derrière elle. En souriant et en lui faisant un signe de la main, je l’observai partir. Enfin seul. Trop seul ! En attendant le retour de mes filles, je m’allongeai sur le lit conjugal et, sans crier gare, je m’assoupis. À mon réveil, je réalisai qu’une légère érection déformait mon caleçon. J’allais y porter la main quand j’entendis du ...