1. Elisabeth s'éveille (7)


    Datte: 26/12/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Eniluap, Source: Xstory

    ... J’en bavais d’avance. J’aurais voulu la pousser sur le canapé pour la faire jouir à cet instant précis.
    
    — Ça y est ma chérie, tu es prête ?
    
    — Oui c’est bon ! Je vais y aller.
    
    Emma n’osait toujours pas me regarder. A présent habillée, je n’avais plus qu’à laisser parler mon imagination pour deviner à quoi ressemblait son corps sous ses vêtements.
    
    Je regardai tour à tour les filles. Si différentes mais si désirables. Une avait succombé et avait toujours eu envie de moi. Mais l’autre ? Si catégorique, si implacable que sa mère ?
    
    — Fais attention à toi, lui dis-je en embrassant sa joue. Sois sage.
    
    — Toujours ! Vous aussi ! Toi aussi, Eli !
    
    Elle lui sourit en promettant de ne pas sortir du week-end. Elle avait sans doute raison. Ma bite l’occuperait un certain temps.
    
    Emma claqua la porte et Eli me regarda en plissant les yeux.
    
    — C’était quoi, ça ?
    
    — De quoi ? répondis-je en mettant la table.
    
    Eli s’approcha doucement jusqu’à être face à moi. Ses yeux plongèrent dans les miens.
    
    — Tu n’avais jamais embrassé Emma comme ça. Tu n’avais jamais regardé Emma comme ça.
    
    — Tu dis n’importe quoi !
    
    Merde.
    
    — Je n’en reviens pas ! hurla Eli. Tu fantasmes sur elle ! Tu la veux !
    
    — Arrête de délirer, je te rappelle qu’Emma est ta sœur, je l’aime autant que toi.
    
    — Donc tu veux te la faire ! Si tu l’aimes comme tu m’aimes, tu veux coucher avec elle !
    
    Je restai silencieux.
    
    Mater Emma à la dérobée était une chose. Coucher avec elle... je n’y ...
    ... avais jamais pensé même si son corps m’avait fait de l’effet.
    
    — Mon bébé, tu es jalouse ?
    
    — Oui !!
    
    Elisabeth me tourna le dos. Je la pris dans mes bras et pressai mon pénis contre ses fesses. Mes lèvres parcoururent ses épaules et son cou. Je la sentis frémir.
    
    — Tu es la seule qui me fait autant d’effet, lui assurai-je. Ta sœur est très belle, comme toi, vous êtes simplement différentes. Ça ne change rien à mon désir et mon amour pour toi.
    
    Je glissai mes mains sous sa robe. Mes paumes caressèrent ses cuisses, ses fesses et son ventre.
    
    — Tu coucherais avec elle ? insista-t-elle.
    
    Je ne lui répondis pas et lui ôtai sa robe. J’avais bien raison, elle était complètement nue en-dessous. La coquine... combien d’hommes ce jour-là avait deviné la cambrure de ses fesses, la rondeur de ses seins et la couleur de ses tétons sous ce fin tissu ? C’était vraiment une belle allumeuse.
    
    — Assieds-toi, lui ordonnai-je en désignant le plan de travail.
    
    Elle se hissa dessus et me fixa, innocente et pure. Ce regard me donnait encore plus envie de la souiller.
    
    — Écarte tes jambes.
    
    Doucement, elle m’offrit la plus belle vue possible : sa petite chatte lisse.
    
    Je me mis à genoux et sortis ma langue. Je la fis glisser le long de sa cuisse tandis que ma fille se crispait. Son souffle était court et s’arrêtait dès que j’approchais de son antre. Pour la rendre folle, je recommençais plusieurs fois : aller et venir, sans jamais poser ma bouche sur sa fente qui commençait à ...