Elisabeth s'éveille (7) - Histoires de Sexe

Elisabeth s'éveille (7)

... bruit. Je me levai prestement, impatient de prendre Eli dans mes bras. Enfin elle rentrait !

A pas de loup pour la surprendre, je suivis les légers bruits provenant du couloir mais fus surpris de voir qu’il ne s’agissait pas d’Elisabeth mais d’Emma. La porte entrouverte de sa chambre me permettait de l’observer en catimini.

Plusieurs sachets étaient posés sur son lit impeccablement fait et elle se tenait devant, en sous-vêtements.

Emma n’avait rien de comparable avec Elisabeth. Elle était très menue, ses fesses étaient à peine rebondies. A cet instant-là, elle portait un string rose mais aucun soutien-gorge, sans doute pour être plus à l’aise en petite robe d’été. Elle se tourna à moitié et je pus apercevoir ses petits seins, incomparables avec ceux de sa sœur. Emma devait faire un petit bonnet A tant sa poitrine était discrète. Elle avait ramené ses cheveux blonds comme les blés en une queue-de-cheval.

Je déglutis. Obnubilé par Eli, je n’avais jamais prêté attention aux charmes de sa petite sœur. Bien sûr, je savais que c’était une jolie jeune fille, mais je ne l’avais jamais regardée de cette manière-là.

— Papa, mais qu’est-ce que tu...?!

Je sursautai, Emma avait hurlé comme si elle avait vu un inconnu.

J’ouvris plus largement la porte pour m’excuser. J’avais suffisamment pris l’habitude des mensonges pour nuancer ce que j’étais véritablement en train de faire - mater ma fille comme un porc.

— Je suis surpris de te voir, dis-je simplement. Ta mère ...

... m’a dit que tu dormais chez une copine.

— Oui, mais...

Elle laissa balader ses yeux bleus sur mon torse et mon caleçon avant de se retourner. Elle avait piqué un fard.

— J’ai fait du shopping et je voulais ranger tout ça avant de partir.

Je hochai la tête. Elle avait plaqué un vêtement sur elle pour dissimuler ses seins. J’aurais pourtant aimé dévorer encore ses petits tétons du regard.

— Papa ? Emma ?

— Ah, ta sœur est rentrée !

Je la laissai, elle avait été bien assez perturbée pour aujourd’hui. Par contre, ma bite avait enflé davantage dans mon caleçon. Avant de rejoindre Eli, j’enfilai quelque chose de plus approprié.

— Maman est partie ? souffla-t-elle en me voyant entrer.

— Oui, dis-je en la prenant dans mes bras.

Je la serrai avec force contre moi et enfouis ma tête dans ses longs cheveux noirs. Ils sentaient divinement bons, ce parfum propre à ma fille que j’adorais tant.

— Mais Emma est encore là.

Elisabeth se recula et reprit une contenance. Encore quelques minutes de patience avant de pouvoir se laisser aller.

Pour m’occuper, je m’attelai à la préparation du repas en suivant les recommandations de mon épouse. Je mis le plat à réchauffer et détaillai ma fille.

Elle portait une robe blanche qui lui arrivait à mi-cuisse et je compris qu’elle n’avait aucun sous-vêtement. Le tissu, trop fin et légèrement transparent, ne promettait que sa peau. Pieds nus, elle déambulait dans la maison en écrivant fiévreusement sur son téléphone. ...