Dix-neuf ans.
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
fh,
hh,
Inceste / Tabou
campagne,
Masturbation
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hgode,
hfisté,
hsodo,
confession,
prememois,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... mon foutre et m’en proposant le partage. Plus généreux, plus épais, plus, plus…
Ensuite le foutre de Chris qui me lessive le cul, apportant ce qu’un gode ne peut offrir.
Est-ce de la malchance ou au contraire un signe du destin. Mais les deux jours qui suivent sont pluvieux. Et donc pas de bains de soleil possibles. Ils ont tenu parole. Je sais où Manon va se cacher, mais cela ne me sert à rien de le savoir comme il pleut.
Il n’y a pas beaucoup de différence entre le cul d’un cousin et celui de Monique. Si, les cousins sont plus serrés.
Je me fais un plaisir d’enculer Marcel. Mais à ma façon. Je le fais allonger sur le dos, les cuisses bien ouvertes, levées et ainsi je peux suivre sur son visage l’avancée de ma queue. Voilà une chose que ma maîtresse m’a apprise. La baise n’est pas que l’acte de chair. Le plus important est dans les gestes, les mimiques, les regards. Marcel notre leader est comme les autres. Il gémit, geint, montre des signes de « faiblesse » alors que je le bourre. Pendant que je l’encule profond il se branle, mais aussi se fait envahir la gorge par Christian.
C’est bon, je dois le reconnaître de lui lessiver les entrailles. Le leader est moins fier lorsqu’il se relève et que du foutre coule le long de ses cuisses.
**********
— Je sais que tu es là. Montre-toi.
Comment sait-elle que je suis là ? Pourtant je n’ai pas fait de bruit si ce n’est celui de quelques grincements de plants couchés sur le sol. La cachette de Manon est ...
... parfaite. Dans un champ de tournesol,, elle s’est taillé une clairière. La hauteur des plants lui fait une barrière parfaite et comme le champ est vallonné, de nulle part on peut le surplomber. Il n’empêche que je me croyais silencieux. J’hésite à me montrer.
— Tu n’as pas le courage de te montrer. Tu préfères les greniers.
L’allusion au grenier m’intrigue. Je me dévoile. Le carré est juste suffisant pour s’allonger.
— Ah, tout de même !
Elle est bien nue. Elle ne se cache pas. C’est moi l’intrus, c’est moi qui dois me sentir gêné ! Je dois avoir l’air empoté, après tout c’est seulement la deuxième femme que je vois ainsi. Elle est blonde. Elle ne peut le renier, car sa toison en est la preuve.
— Assieds-toi là.
Je m’exécute. Elle se relève. On est côte à côte.
— Alors pas déçu ? Je t’ai laissé tout le temps de te rincer l’œil, le Parigot ! Les filles sont plus belles chez toi ? Mieux habillées, c’est certain.
Elle rit de son bon mot.
— Alors comme cela, tu n’es plus vierge !
Ce n’est pas une question, plutôt une constatation. Mais elle continue :
— J’ai apprécié le sacrifice. Encore que j’ai trouvé que cela n’avait pas l’air de te déplaire.
— Le sacrifice ? Mais de quoi tu parles ?
— Une confidence : entre ma chambre et le grenier, il y a une trappe.
— Quoi ?
— Cela veut dire que je peux voir et entendre tout ce qui se passe de l’autre côté.
— Quoi, tu veux dire que…
— Oui. Comme la chambre des garçons est juste au-dessus de leurs ...