Dix-neuf ans.
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
fh,
hh,
Inceste / Tabou
campagne,
Masturbation
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hgode,
hfisté,
hsodo,
confession,
prememois,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
J’avais dix-neuf ans. Il y a… une éternité… une autre époque… un autre monde… des mœurs austères… une sexualité cachée.
J’avais dix-neuf ans et comme chaque année, on m’avait envoyé chez mes grands-parents, à la campagne pour passer une partie des vacances d’été. J’avais juste arraché de haute lutte de ne pas passer les deux mois, mais un seul. Je venais de passer la première moitié de mes vacances, avec un copain et ses parents, au bord de la mer dans une villa bourgeoise. Un autre monde que le mien, un monde où on allait au restaurant juste pour le plaisir, un monde où les parents laissaient leur fils flirter, un monde, c’est le copain qui me l’avait dit, ou ses parents parlaient « préservatif ». J’avais flirté moi aussi, mais pas plus. J’avais bien essayé, mais ma conquête n’acceptait que quelques caresses sur les seins et refusait même de me branler.
Il faut se souvenir de cette époque. Pas de pilule, on devait se retirer avant ! La méthode Ogino faisait fureur, faute de mieux. Les préservatifs ne pouvaient s’obtenir qu’en pharmacie. L’avortement un péché et une pratique dangereuse avec les « faiseuses d’anges ». Vous voyez, rien que l’expression était une condamnation.
J’étais passé d’un monde à un autre. Oh, je ne renie pas le mien, enfin celui de mes parents et grands-parents, monde de la terre. On habitait en banlieue parisienne, mais mes parents étaient à l’origine des paysans. Mes grands-parents vivaient à la ferme et elle servait de lieu de ...
... retrouvailles à la famille. Depuis toujours, aux vacances d’été j’y retrouvais mes deux cousins et parfois d’autres enfants. Mes grands-parents faisaient office de lieu d’accueil pour enfants en difficultés.
Pour les cousins depuis toujours j’ai été le Parigot qui au fil du temps s’est transformé en Pari ! On s’est retrouvé avec plaisir. Rien que de les revoir, m’a fait monter plein de choses à la mémoire. On en a fait des coups ensemble. Se saouler en cachette avec la piquette du tonneau de grand-père. Fumer les « P4 » dans la grange. Quand je pense à ces imprudences, je frémis.
J’ai du mal à dormir. Les bruits de l’océan me manquent. Ici, c’est le silence, les animaux, la charpente qui grince. Il faut dire que nous dormons dans le grenier. En réalité des mansardes aménagées. En partant du premier étage, l’escalier débouche dans un petit couloir. À droite notre chambre, celle des garçons. Un autre, mais réservée pour un éventuel enfant recueilli. À gauche deux chambres pour les filles. En arrivant, j’ai fait la connaissance de Manon que mes grands-parents « gardaient » pour quelque temps, le temps que sa famille se calme ou qu’un juge décide de son sort. Elle devait avoir notre âge. Pas bavarde, mais je le l’avais vraiment vue que quelques heures. En tout cas assez longtemps pour voir que sa robe cachait des rondeurs qui ne pouvaient que perturber un gars de mon âge.
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Je n’étais plus puceau. À cette époque-là, on ne couchait pas facilement. Les filles, comme je ...