Dix-neuf ans.
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
fh,
hh,
Inceste / Tabou
campagne,
Masturbation
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hgode,
hfisté,
hsodo,
confession,
prememois,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... disais, faisaient très attention et être vierge, avait encore un sens.
Je n’étais plus puceau, non pas avec une fille de mon âge ou une prostituée, mais une amie de ma maman, célibataire, ouvrière comme elle. Un jour que ma mère m’avait demandé de lui porter un paquet, qu’en frappant on ne m’avait pas répondu, que j’étais entré, je l’avais surprise en train de se laver. N’imaginez pas baignoire ou douche, mais toilette avec gant et savon dans la cuisine. Elle ne m’avait pas vu. Elle ne m’avait pas entendu, la radio serinait une chanson qu’elle répétait.
J’étais comme paralysé. C’est la première fois que je voyais une femme nue. Il circulait bien des « Paris Hollywood », mais même ces photos étaient floutées. Devant mes yeux, je découvrais toutes ses rondeurs, ses seins blancs, ses hanches généreuses, des fesses étrangement galbées, mais surtout cette forêt de poils qui cachait un mystère insondable.
— Oh. Regardez qui me mate ! Tu n’as pas honte. Retourne-toi.
Surpris, je n’en mène pas large. Si elle le dit à mes parents, je vais avoir droit à une réprimande dont ma mère a le secret. Je suis trop grand pour recevoir une fessée ou une gifle, mais je préférerais encore à la honte de la punition.
— Tu as quel âge ?
Elle s’est rapprochée, elle est juste derrière moi.
— Je viens d’avoir dix-neuf ans.
— C’est vrai, j’avais oublié.
Un silence et puis :
— Tu l’as déjà fait ?
Comme un idiot je demande :
— Quoi ?
— Tu sais bien avec une fille.
— Ah ...
... ça ? Non !
Nouveau silence.
— Tourne-toi.
Elle est juste là, une grande serviette autour d’elle qui cache sa poitrine et plus bas. J’essaie de ne pas avoir l’air trop ridicule.
— Ça te plairait si on le faisait ensemble ?
Je dois avoir l’air demeuré. Jamais je n’avais pensé à cela. Bien sûr, il m’est déjà arrivé de la regarder d’une façon qu’elle avait remarquée, mais tout en souriant avait tiré sur sa jupe pour cacher le peu que j’aurais pu voir.
Je suis comme paralysé. J’arrive cependant à expulser un « Oui » qui la fait sourire.
Elle détache la serviette qui tombe au sol. Je dois avoir les yeux qui sortent de la tête. Elle sourit. Elle prend ma main.
Alors je découvre un autre monde. Elle la guide vers un sein, puis l’autre. J’en découvre la douceur, la fermeté, le téton que ma paume frotte un moment. Je vois sur son visage qu’elle n’est pas indifférente à sa caresse indirecte. Ma main explore son corps, la rondeur de la hanche, mais surtout les poils de son sexe, brins soyeux qui n’empêchent cependant pas de découvrir un monde vallonné et alors qu’elle fait bouger ma main sur sa fente, je sens la respiration de Monique qui s’accélère. Elle se fait du bien.
(À l’époque, je n’aurais jamais pu imaginer que les filles aussi pouvaient se donner du plaisir, comme un garçon qui se branle discrètement dans les toilettes ou le secret de son lit.)
Mais elle relâche ma main.
— Voyons voir si je te plais !
Sa main s’est posée sur mon pantalon, un ...