1. Dix-neuf ans.


    Datte: 18/12/2022, Catégories: fh, hh, Inceste / Tabou campagne, Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hgode, hfisté, hsodo, confession, prememois, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... endroit que la nature déforme et qu’elle ne peut que constater.
    
    — On dirait bien que oui !
    
    Elle sourit. Évidemment que je bande, comme un taureau.
    
    Elle détache ma ceinture, les boutons de ma braguette, tire pour entraîner le slip avec et me voici le pantalon sur les mollets, situation ridicule s’il en est. Mais c’est mon sexe qui l’intéresse. Je suis dur… Ah, c’était le bon temps où une seule pensée déclenchait une érection de fer… Elle le prend en main, semble en vérifier la forme, la dureté.
    
    — Hé, tu es bien équipé !
    
    Elle se penche, tire sur la peau pour bien dégager le gland.
    
    — Si tu veux plaire aux filles, il va falloir améliorer ta toilette. Déshabille-toi.
    
    Alors c’est à la fois du plaisir et la honte.
    
    Plaisir alors que Monique qui m’a entraîné vers la cuisine me fait une toilette intime, savonnant, essuyant mon braquemart qui ne débande pas.
    
    Honte de comprendre que je suis sale et que le sillon entre gland et hampe doit être mieux nettoyé que je le faisais.
    
    — Voilà, propre comme un sou neuf. Allez, viens.
    
    Elle m’entraîne avec elle. La chambre est minuscule, le lit haut.
    
    — Assieds-toi.
    
    Elle m’aurait demandé n’importe quoi, je l’aurais fait. Mon cerveau était en ébullition. Je me disais :on va le faire… On va le faire…
    
    (Cela paraît maintenant bien ridicule surtout à l’âge que j’avais. On m’avait passé un livre « cochon », c’était tout. Pas d’internet, juste des bavardages et des vantardises entre garçons).
    
    Mais elle se penche ...
    ... à nouveau sur mon bâton et, à ma stupeur, je la vois y poser les lèvres…
    
    — Voilà c’est beaucoup mieux… elle dit, tout en prenant tout mon gland en bouche.
    
    Première fellation. De celle que l’on n’oublie jamais, qu’il suffit de fermer les yeux pour la revivre. La douceur des lèvres, la langue délurée qui se promène partout, l’audace de la main qui soupèse les couilles avant d’y poser les lèvres. À ce petit jeu, je sens très vite que ma jouissance arrive. Rien à voir avec mes branlettes que je contrôlais en ralentissant lorsque je sentais que cela allait venir, allant jusqu’à étrangler ma base pour tenir le plus longtemps possible. C’est un cousin qui m’avait montré ça. Mais une bouche et des lèvres sont bien plus excitantes.
    
    — Je viens… dis-je pour la prévenir.
    
    Mais elle ne semble pas entendre, au contraire elle se cale et s’immobilise. Je ne peux plus me retenir, ma sève monte et jaillit dans des flots que d’habitude je contrôle avec un mouchoir ou mieux en la laissant jaillir pour retomber sur mon corps. Cela aussi je l’avais appris avec un cousin. Mais là c’est dans la bouche que je me déverse. J’attends la colère de ne pas l’avoir prévenue ou que j’aurais pu me retenir. Mais non, c’est comme si elle appréciait.
    
    Les lèvres sont closes et pourtant des coulures s’en échappent. Je ne rêve pas ! Elle déglutit et le sourire s’élargit et j’entends :
    
    — Eh bien ! Tu m’as gâtée.
    
    Ma première pipe par une femme.
    
    Quelques minutes plus tard, elle me chevauchait ...
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