1. Dix-neuf ans.


    Datte: 18/12/2022, Catégories: fh, hh, Inceste / Tabou campagne, Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hgode, hfisté, hsodo, confession, prememois, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... ayant enveloppé ma queue revigorée d’une capote brillante.
    
    Encore plus tard, elle m’a demandé de la caresser avec ma bouche.
    
    Elle a fait mon éducation. « Tu es doué », elle me disait alors que nous couchions. Elle avait un livre avec des dessins où un couple prenait des positions étranges. Elle voulait qu’on les essaye. À dix-neuf ans, j’ai découvert le KamaSoutra sans le savoir.
    
    Notre liaison a duré plusieurs mois. Et puis un jour, elle m’a demandé de ne plus venir… Qu’elle avait rencontré quelqu’un… Que personne ne devait savoir pour nous… Que ce serait notre secret…
    
    J’avais dix-neuf ans. J’étais doué… Mais les filles de mon âge refusaient que je leur montre mes talents. Et en plus, j’allais passer un mois, perdu à la campagne avec mes deux cousins.
    
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    Je n’arrive pas à dormir. Mais ce n’est pas que le bruit, je bande de mes souvenirs. Autour de moi il me semble que l’on bouge. Il ne fait pas totalement noir et je vois que mes deux cousins se sont levés, qu’ils ouvrent la porte du couloir et disparaissent.
    
    Où vont-ils ? S’ils étaient descendus, j’aurais entendu les marches grincer, mais non.
    
    Vont-ils rejoindre Manon ? Tous les deux ?
    
    La curiosité me fait lever. Le couloir est silencieux. Heureusement le sol est carrelé. J’écoute à la porte que je sais être celle de Manon. Rien, silence complet. Et puis je remarque une lumière sous la porte du grenier, la partie non aménagée et qui sert de débarras. J’ouvre doucement. Au plafond brille ...
    ... l’unique lampe de ce grand volume. Mes cousins sont un peu plus loin.
    
    Pourquoi je ne suis pas surpris ? Pourtant la situation pourrait étonner. Oui, étonner n’importe qui, sauf eux et moi.
    
    Il faut dire que nous avons découvert ensemble la sexualité masculine. C’est Marcel, le plus inventif qui a découvert que s’il faisait certains mouvements sur sa tige, il avait du plaisir. Au début, juste un plaisir et puis avec un liquide qui coulait et des sensations très étranges. Il nous a entraînés dans la même voie.
    
    Marcel est un leader. Il est plutôt chétif comparé à moi et surtout à Christian qui est très costaud. C’est souvent lui qui nous guidait. Sous son exemple, nous avons joué à « Touche-Pipi » d’abord sur soi devant les autres qui font de même, puis en s’occupant de l’autre dans une joyeuse anarchie. Vu de l’extérieur, on aurait pu nous traiter de pervers, de malades, de tantouses, mais si on rêvait de filles, c’est par la main du cousin que l’on se soulageait. Rien de choquant, du naturel, pas plus, pas moins.
    
    Chaque année, on jouait. Chaque été, on se retrouvait et organisions des jeux comme si l’année ne s’était pas passée. Mais l’année dernière, malgré l’encouragement de Marcel, il m’a semblé que nous étions trop vieux pour cela. On avait plus pensé aux filles, cherchant à les surprendre, filles de la campagne qui savent comment l’étalon ou le taureau monte sur son congénère. Sans grand succès, il faut bien dire.
    
    Mais manifestement pendant mon mois d’absence, ...
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