La bourgeoise et le marabout (61)
Datte: 17/12/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... les fesses. Mais dans tous les cas, je prends plaisir à être le réceptacle du plaisir de ces hommes matures, virils et vicieux. Ils me rudoient un peu, certains me donnent des claques sur les fesses, d’autres me pincent un peu fortement les tétons, mais ce mélange de fougue, de bestialité et de sévérité n’est pas pour me déplaire.
Entre leurs mains, je ne suis qu’une salope dont ils usent comme ils le souhaitent et cela me plaît et m’excite. Parfois j’aime que l’on m’utilise ainsi, sans me demander mon avis, et mon plaisir réside dans leur jouissance. Je ne suis que leur jouet et j’en jouis !
Je ne sais nullement quelle heure il est quand le patron du bar répond à son téléphone avant de se diriger vers la porte pour ouvrir à François. Mon adorable mari revient de je ne sais où, peut-être a-t-il profité de son temps libre pour aller faire un tour dans le quartier de Pigalle. A peine François est-il entré que le patron reprend l’ouvrage que le coup de fil a interrompu. Il se repositionne derrière moi, me saisit aux hanches et glisse de nouveau sa grosse queue dans mon cul. Je suis à genoux sur une chaise et le patron dit à François.
— Si vous souhaitez vous faire sucer par votre femme, ne vous gênez pas ! Vous ne serez pas le premier de la soirée, mais vous serez le dernier !
François s’approche, je sais que la situation doit l’exciter, car il est très candauliste. Il se débraguette et me présente sa queue qui est bien moins grosse que toutes celles dont j’ai ...
... profité au cours de la soirée. Mais je ne vais pas lui faire l’injure de lui dire !
Le gros ventre du patron cogne contre mes reins, mais cela n’empêche pas sa bite de cogner tout au fond de ma grotte. Tout en suçant François, je lui caresse bien les bourses, car je sais qu’il adore cela. Les deux hommes accordent leur rythme et tout mon corps vibre à l’unisson avec leurs coups de queue. Mon mari jouit le premier et je recueille la moindre goutte de sa semence. Le patron émet des cris de bête sauvage en rut et je comprends que son orgasme est proche. Il me serre tellement fort à la taille que je suis certaine que je vais avoir des bleus. Mais le voilà qui me parle ou m’injurie en arabe. J’imagine qu’il me dit.
— Salope, je vais te remplir de tout mon foutre.
— Tu n’es qu’une petite pute que je vais remplir !
— Salope de bourgeoise, je vais te casser le cul.
Je gémis fort pour l’exciter encore plus et il me besogne encore plus fort en me claquant les fesses. Pour l’encourager, je lui dis.
— Oui, baise-moi fort.
— Mon mari adore me faire baiser par des Arabes, profite en bien !
— J’aime ta grosse bite, encule-moi bien !
Enfin, il se raidit, se bloque tout contre moi et libère tout le jus de ses bourses. Lorsqu’il se retire et que je peux me retourner, je vois qu’il est tout rouge et sue à grosses gouttes. Il n’aurait pas fallu qu’il fasse un infarctus en me baisant !!
Dans le taxi, lors du trajet retour, je sens le trop-plein de foutre de tous ces mâles ...