1. La bourgeoise et le marabout (61)


    Datte: 17/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... écarte les pans et sa bouche se précipite sur mes seins. Il me dévore les tétons, sa barbe mal rasée est drue et il m’irrite un peu la poitrine. Mais je me résigne à le laisser faire d’autant plus que sa faim semble insatiable. Tandis que sa bouche reste rivée à mes seins comme une sangsue, il trousse le bas de ma robe de ses deux mains et se rapproche au plus près. D’une main, il sort sa bite de dessous sa djellaba et la guide vers ma fente. Bien évidemment, il n’a aucun mal à me pénétrer puisque la place est encore chaude.
    
    Sa bite épaisse coulisse dans ma chatte comme un piston bien huilé. L’endroit est sordide, la position n’est pas des plus confortables et mon baiseur n’est pas un apollon. Pourtant, je gémis de plaisir tant la situation est excitante. Moi, une bourgeoise du XVIème arrondissement de Paris, je me fais baiser comme une vulgaire pute dans un boui-boui de Barbès. Je passe mes mains dans le dos de mon amant pour mieux l’attirer à moi, je veux sentir sa bite cogner au fond de ma vulve, je veux qu’il en profite bien et qu’il se souvienne longtemps de moi. Il se redresse, passe ses mains calleuses dans mon dos puis s’empare de mes fesses qu’il attire à lui. Le voilà qui jouit et je peux lire dans ses yeux combien il apprécie cet instant où son foutre se répand en moi. Il donne encore quelques coups de bas-ventre pour bien se vider puis me quitte avant que j’ai eu le temps de réajuster ma robe.
    
    Je remonte à l’étage et rejoins François à sa table où je ...
    ... le découvre en train de discuter avec deux autres hommes. Je m’installe sur la seule chaise libre à la table, celle située entre les deux hommes.
    
    François me présente Abdel et Rachid qu’il a invités à rejoindre notre table pour discuter et partager le thé à la menthe. Nous discutons bien évidemment du confinement et de la joie de tous les Parisiens à pouvoir circuler un peu plus librement. Au bout d’une dizaine de minutes, le patron nous rapporte quatre thés à la menthe et de nouvelles pâtisseries orientales. A mon refus de reprendre des gâteaux, Abdel me demande.
    
    — Tu ne les aimes pas ?
    
    Je lui réponds.
    
    — Bien au contraire, je les adore ! Mais je dois faire attention à ma ligne.
    
    Il éclate d’un gros rire et me dit.
    
    — Oh, tu as quand même de la marge !
    
    Et Rachid de rajouter.
    
    — Oui, même avec un ou deux kilos de plus, tu restes pas mal !
    
    C’est à ce moment que François se lève et nous dit.
    
    — Je dois passer un coup de fil urgent, excusez-moi ! Je sors du bar, car c’est un peu bruyant ici.
    
    Et le voilà qui sort du bar et me laisse seule avec les deux hommes.
    
    Je ne sais nullement si cela avait été arrangé avec François avant que je revienne des toilettes, mais toujours est-il que les deux hommes passent à la vitesse supérieure dès que François est sorti du bar. Chacun des deux pose une main sur mon genou et commence à remonter sous ma robe tout en discutant. Rachid me demande.
    
    — Ainsi vous connaissez notre ami Mamadou le marabout ?
    
    Abdel ...
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