La bourgeoise et le marabout (61)
Datte: 17/12/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... poursuit.
— Il est très connu dans le quartier et très respecté pour son savoir.
Je leur réponds.
— Oui, j’ai eu quelques soucis de santé et je l’ai consulté il y a déjà plus d’un an.
Rachid enchaîne.
— Votre mari nous a dit que Monsieur Coulibadou vous a transformée.
Et Abdel.
— Mon Ami Ahmed, l’assistant de Mamadou, m’a dit beaucoup de bien de vous.
Je comprends vite que les deux hommes sont au courant de beaucoup de choses. Je décide donc de précipiter les choses. Je leur lance.
— Oui, depuis mes différentes visites avec maître Coulibadou, je dois avouer que je suis très gourmande de sexe et mon mari a du mal à me satisfaire. Heureusement, il est partageur et pas du tout jaloux.
Rachid m’attrape une main et m’attire à lui.
— Viens donc t’asseoir sur mes genoux. Tu seras mieux installée.
Tandis qu’il relève sa djellaba d’un geste rapide, je m’installe sur le haut de ses cuisses en lui tournant le dos de manière à faire face à Abdel.
Le patron se lève, se dirige vers la porte et sort, j’imagine pour discuter un peu avec François de la suite de la soirée. Il revient quelques minutes après, baisse le rideau de fer de la porte et retourne vers son comptoir. En passant à ma hauteur, il dit me dit.
— Ton mari doit régler un problème urgent. Il repasse te chercher d’ici une heure.
Puis il s’exprime en arabe aux autres hommes présents. Le seul mot que je comprends c’est « kahba » qui signifie « salope ».
Je suis maintenant bien ...
... empalée sur la bite de Rachid qui a dévoilé mes seins et en profite de se deux mains. Abdel se lève, ouvre sa braguette et en sort une belle bite circoncise et déjà bien bandée. Il l’approche de ma bouche et je la happe aussitôt. Il passe ses mains derrière ma tête et commence ses va-et-vient dans ma bouche comme s’il se masturbait. Ceux qui jouaient aux cartes et aux dominos ont arrêté leurs parties et se rapprochent. Ils ont compris qu’il y avait là une bonne occasion de se vider les bourses avant de repartir à la maison.
Dès qu’Abel s’est vidé dans ma bouche, Rachid me fait mettre debout et me couche le buste sur la table. Il se repositionne derrière moi et reprend son ouvrage. C’est en arabe qu’il exprime sa joie de me remplir de tout son foutre et, même si je ne comprends rien à ce qu’il dit, je me doute qu’il est ravi.
Pendant l’heure qui suit, tous les mâles présents vont profiter de mes orifices. Je ne sais pas s’ils ont déjà baisé depuis le début du ramadan, mais je dois avouer qu’ils ont mis du cœur à l’ouvrage. Allongée sur une table, à genoux sur une chaise, à quatre pattes par terre, calée contre le comptoir, perchée sur un haut tabouret, je varie les positions en fonction de ce qu’on me demande. Certains préfèrent être bien sucés, d’autres me prennent la chatte et un bon nombre semble apprécier mon petit cul accueillant. Certains me remplissent de leur foutre tandis que d’autres préfèrent se retirer au dernier moment pour bien m’arroser le ventre, les seins ou ...