1. La bourgeoise et le marabout (61)


    Datte: 17/12/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    En ce dimanche 10 mai, comme c’est la fête des Mères, François a été particulièrement attentionné avec moi et j’ai eu droit à un joli bouquet de fleurs de sa part et de celle de nos deux fils. Le programme de la journée n’a pas été très original, promenade d’une heure dans un rayon d’un kilomètre le matin, déjeuner sur le balcon pour profiter du soleil dominical, petite sieste sage en début d’après-midi, pause thé-scrabble à l’heure du goûter, travaux de jardinage dans le petit jardin de l’immeuble, coupe de champagne en guise d’apéro, dîner en amoureux puis film policier après les informations télévisées du soir.
    
    Lorsque nous nous mettons au lit, François se colle à moi comme cela lui arrive parfois lorsqu’il a envie de me faire son affaire. Sa main se glisse sous ma nuisette, remonte sur mon ventre pour s’emparer de mes seins. Il m’attire à lui, m’embrasse à pleine bouche, joue avec ma langue. Puis, il vient sur moi et son sexe bandé demande à s’introduire dans la place. Au bout de quelques va-et-vient, il est au fond de moi et commence à me besogner avec fougue. Il me dit.
    
    — Tu sais que demain c’est le début du déconfinement. Plus besoin de papier pour sortir.
    
    Il ne me laisse pas le temps de répondre qu’il poursuit
    
    — Salope comme tu es, je sais que tu vas retrouver tes petites habitudes.
    
    — Tu dois en avoir besoin même si tu t’es accordé quelques extras ces dernières semaines.
    
    — C’est excitant d’être marié à une bourgeoise aussi salope que toi.
    
    — Tu as ...
    ... ta liberté, mais demain c’est moi qui t’organise ta première sortie d’après déconfinement.
    
    — J’en ai parlé à Mamadou qui est ravi de s’associer à moi pour te déconfiner sexuellement.
    
    Il doit certainement être déjà concentré sur cette soirée particulière, car soudain il se tétanise et se vide dans ma chatte avant de s’écrouler sur moi.
    
    Je lui dis alors
    
    — Si cela te plaît que je revois mon marabout, alors le plaisir sera partagé.
    
    Il me répond.
    
    — Oui, je l’ai eu au téléphone. Cela va être une soirée sympa !
    
    Il est un peu plus de 21h30 lorsque notre taxi nous dépose près du métro Barbès Rochechouart dans le XVIIIème arrondissement. François semble avoir eu des consignes précises, car à pied, nous remontons un peu le boulevard de la Chapelle, tournons à gauche dans une petite rue puis à droite pour nous retrouver rue de la Goutte d’Or. François hésite un peu, regarde sur son téléphone l’adresse qu’il a dû recevoir de maître Coulibadou puis nous entrons dans un petit café à l’aspect plutôt miteux dont le nom, à lui seul, est tout un programme « Le café du bled ».
    
    Mon marabout est déjà installé à une table avec un autre homme, mais, certainement parce que c’est convenu ainsi, François et moi nous asseyons à une autre table et faisons comme si nous ne le connaissions pas. Il y a une petite quinzaine d’hommes dans la salle, certains jouent aux cartes, d’autres fument la chicha, deux ou trois autres s’adonnent aux dominos et tous ont un verre de thé à la menthe ...
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