La bourgeoise et le marabout (61)
Datte: 17/12/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... devant eux. Le patron, qui semble être le seul employé de l’établissement, vient vers nous et François lui commande deux thés à la menthe accompagnés de quelques confiseries orientales. Il revient quelques instants plus tard et dépose le plateau sur la table.
Je suis la seule femme dans la salle et la moyenne d’âge des hommes présents doit être d’environ 50 ans. Ce sont essentiellement des beurs avec quelques blacks, dont mon marabout. J’imagine qu’ils sont tous de confession musulmane et, comme nous sommes encore en période de ramadan, ils sont là puisque le soleil est couché depuis un bon quart d’heure. Certains me lancent des regards appuyés même si je ne suis nullement provocante avec ma robe qui descend jusque sous les genoux. Au bout d’une dizaine de minutes, François me dit.
— Tu devrais aller aux toilettes pour te remaquiller un peu.
Je ne cherche pas à comprendre et je me dirige vers le comptoir pour demander au patron où sont les toilettes. Il me montre un petit escalier qui descend au sous-sol et je le remercie.
Alors que je suis devant le miroir à me remettre du rouge, j’entends du bruit derrière moi et, dans le reflet de la glace, je vois apparaître maître Coulibadou. Il ne me dit rien, se met à genoux derrière moi, glisse ses mains sous ma robe et fait lentement descendre mon string le long de mes jambes. Il se relève et me dit.
— Bonsoir Hélène, restez ici et laissez vous baiser par mon ami qui va vous rejoindre dès que je serai remonté à ma ...
... table.
Quelques minutes plus tard, le grand black que j’ai vu avec mon marabout arrive et, sans rien me dire, se cale contre mon dos, soulève ma robe et me fait bien écarter les jambes. Je me penche un peu en avant et sa queue vient au contact de ma chatte. Il se frotte, il s’excite, il se stimule puis son pieu d’ébène me pénètre centimètre par centimètre. Il a un gland énorme et j’ai l’impression qu’il va m’éventrer. Heureusement, ma chatte s’ouvre et il peut rapidement prendre un bon rythme de croisière pour me besogner comme il le souhaite. Coincée entre son bas-ventre et le rebord du lavabo, il m’est impossible de bouger. Ses mains remontent sur mon ventre et, comme je n’ai pas mis de soutien-gorge, il peut accéder librement à mes seins dont ils pincent les tétons. Je gémis sous ses assauts et ses pincements, cela l’excite, car le voilà qui me saisit par la taille, m’assène de vigoureux coups de queue puis décharge tout son foutre dans ma chatte.
A peine a-t-il remballé son artillerie qu’il repart sans un mot.
Je n’ai pas le temps de remonter qu’un chibani en djellaba arrive. Il doit avoir au moins 60 ans, a des cheveux blancs coupés courts et n’a pas un poil de graisse. Il m’oblige à me retourner face à lui, me soulève pour m’asseoir sur le rebord de l’évier et s’avance entre mes jambes. Il me parle, mais je ne comprends rien de ce qu’il me dit. Il a les yeux brillants et semble heureux de l’aubaine qui se présente à lui. Il défait les boutons du haut de ma robe, en ...