1. Complexe vaincu 2


    Datte: 29/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... le crois. Erreur ! Abel me culbute sur le dos, m’écarte les cuisses, se repositionne et veut savoir si désormais, dans n’importe quelle position il pourra me prendre, moi ou une autre. Il ne veut rien laisser au hasard. Je suis compréhensive. Il doit pouvoir entreprendre ses conquêtes prochaines libéré du doute. Son pieu infernal a craché ses énormes réserves de sperme gras et il glisse grâce à son jus un peu plus facilement dans mon vagin écorché. Sans pitié, sans considération pour le don que je lui ai fait, le sauvage pompe, me bourre, va et vient en longs mouvements et malgré moi, malgré ma résolution de rester fidèle à Robert, Abel m’envoie au septième ciel. une fois de plus.
    
    J’ai eu mal, très mal, mais je jouis, je jouis, je jouis hihihi, je hurle de plaisir cette fois, je passe un temps fou dans la ouate des nuages de volupté extraordinaire. Et la brute heureuse me remercie d’un premier et interminable baiser à pleine bouche pendant qu’il me farcit le sexe d’une nouvelle et surabondante portion de spermatozoïdes. Il était temps de le délivrer de la pression de réserves accumulées depuis sa dernière tentative infructueuse. Je suis pleine, le foutre déborde, coule entre mes fesses, tache mon drap sans souci.
    
    - Oh! Toi alors, tu as été merveilleuse ! Merci.
    
    - Oui, mais vite, c’est fini, il faut te sauver ou mon mari va te casser les reins. Ma curiosité n’est pas entièrement satisfaite, j’aimerais connaître l’importance de mon exploit ? Tu comprends, pour moi ...
    ... c’est une première, il faut que je sache ce que je puis supporter, quelle est la dimension limite acceptable par mon vagin. Oh ! C’est purement théorique . A propos, tu mesures combien ainsi déployé?
    
    - Vingt quatre.
    
    Il est tout fier de me renseigner, comme si j’étais le Guinness des records. Toilette, départ précipité. Je suis sur les rotules, pantelante, fière de ma généreuse collaboration. Étonnée de l’immense récompense obtenue pendant l’acte de chair avec cet étalon. On dit qu’il faut souffrir pour être belle. J’ajoute qu’il faut vraisemblablement souffrir pour connaître de vrais orgasmes.
    
    24, c’est le double de 12...! Je ne me serais pas cru capable de recevoir 24 centimètres. C’est énorme, je peux et je ne le savais pas. Je me contentais de la moitié. Je n’en reviens pas, je l’ai plaint, je l’admire. Mon pauvre Robert devrait s’informer sur la possibilité de dépasser ses douze centimètres. Sans compter la différence énorme de diamètre. Et,ce qui me trouble le plus, c’est cet orgasme fantastique qui n’en finissait plus d’envoyer des décharges électriques des cheveux au bout de mes orteils. Cela ne m’est pas arrivé avec mon mari. Pourtant je l’aime et c’est à lui que je me suis unie pour la vie. Certaines choses sont mal faites. Robert aurait dû tomber sur l’une de ces froussardes qu’Abel ne réussit pas à conquérir. Et moi ? Je suis condamnée à ce que, dans mon ignorance, j’ai choisi: une petite bite. Mais il faut oublier, oublier, oublier ma bonne action.
    
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