1. Complexe vaincu 2


    Datte: 29/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... deux mains placées en anneaux successifs autour de la longue colonne de chair palpitante et j’accorde à l’impressionnante pointe qui dépasse de mes mains des lapements, des coups de langue en cercles autour de la couronne supérieure de ce sceptre royal.
    
    Je vais me décrocher les mâchoires si je le prends en bouche. C’est si facile avec la verge de Robert que ma bouche contient entièrement lorsqu’elle est en érection. Courage, il le faut. Mes lèvres passent, mes dents doivent racler la surface. J’enfourne un peu, je défourne, j’aspire de l’air et je recommence. C’est nouveau et enivrant. Je ne peux ni ne dois faiblir ou reculer. Ce serait pire qu’un rejet initial pour son moral.
    
    - Oui, c’est bon, continue, un peu plus. Tu es une envoyée du ciel.
    
    « Un peu plus. » Sait-il ce qu’il réclame, le pauvre démesuré? Je suis au bord de l’étouffement et il prétend s’enfoncer encore. Oui quand on apprend qu’on accomplit une tâche céleste, que sa bouche est un paradis, on se sent obligée de prodiguer le bonheur. On fait l’effort, on accueille mieux. Au fond de ma gorge sa queue chatouille ma luette et il reste encore des centimètres de tube à l’extérieur de mes lèvres. Je frappe sur ses cuisses pour qu’il cesse de pousser dans mon gosier. Heureusement, je n’oublie pas l’heure.
    
    - Stop, si tu veux pénétrer mon vagin, il faut t’y mettre. Sinon, je ne pourrai pas assurer la relation sexuelle complète dont tu as un si grave besoin.
    
    En position du missionnaire, moi sur le dos, ...
    ... jambes ouvertes et genoux remontés, lui tendu au dessus, en appui sur la pointe des pieds et les mains posées à hauteur de mes seins, il frappe à la porte, en vain. Je tire sur les lèvres de mon sexe, rien n’y fait. Son membre est trop gros. Quand il force le passage, je crie de douleur. En levrette, c’est à peine plus facile. Il passe la tête au prix d’horribles douleurs et de plaintes pitoyables. Il y a un mieux, un petit mieux seulement, à peine perceptible. J’ai le sentiment de m’élargir un peu, de devenir plus accueillante,mais encore trop peu.
    
    Abel ne veut pas me décourager dès la première fois. La quête d’une belle âme est si difficile, la bonne volonté si rare ! Il faut essayer autre chose. Je comprends mieux celles qui se sont dérobées. Finalement c’est si simple avec mon mari. Ma générosité me perdra. Abel se couche sur le dos, tient son énorme pique dans une main, décalottée, raide et dure, la dirige vers le ciel, m’invite à m’asseoir dessus, m’attend. Je l’enjambe, je lui fais face, je m’accroupis lentement, avec précautions, jusqu’à toucher de mes lèvres étirées le nœud violet menaçant. Quatre mains saisissent les chairs de l’entrée et écartent la fente. Abel me parle d’un losange rose. Un centimètre, deux, trois, mes chairs cèdent sous la pression, mon poids m’entraîne vers le bas .
    
    La hampe s’infiltre lentement, s’enfonce millimètre après millimètre dans le manchon qui glisse lentement vers le bas du sexe mâle. C’est une rude épreuve, mais je veux surmonter ...
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