1. Complexe vaincu 2


    Datte: 29/08/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    Un jour donc, l’impossible est arrivé. J’ai pu comparer…voir, toucher … un modèle différent…
    
    Commençons par le début. Le lundi soir et le jeudi, après le travail, pour garder la forme, entretenir notre corps, Robert pratique dans un club d’athlétisme la course à pied et moi, Simone, je fais des longueurs de bassin à la piscine olympique de la ville pour entretenir ma ligne. Ce lundi il y a foule à la piscine, toutes les cabines côté femmes sont occupées, la caissière m’envoie côté hommes. J’essaie une clenche, la porte s’ouvre, j’entre à reculons, je pousse le loquet, je me retourne et me trouve en face d’un homme nu occupé à se frotter les cheveux vigoureusement, les deux bras levés, les mains sur sa serviette de bain qui cache son visage.
    
    Mais c’est un homme et quel homme, seigneur ! Enfin ce que je vois en baissant les yeux ne permet pas le doute. Sous l’hirsute toison brune au bas de son ventre, sur l’épais coussin de ses testicules, pend une verge molle, au repos, de dimensions impressionnantes, longue, large, épaisse, un truc incroyable. Du jamais vu, de l’inimaginable. Je ne réussis pas à détacher mes yeux de cet attribut sans doute hors du commun. Force est de le constater, une queue comme celle-là, ça existe! C’est époustouflant, incroyable, sidérant. Mais…mais…
    
    - Mais que faites-vous dans ma cabine? dit la face sortie de la serviette.
    
    Il voit mon regard planté sur son sexe, fasciné comme l’oiselet devant un serpent. Son sexe fait un bond, prend des ...
    ... dimensions nouvelles, s’allonge, épaissit encore et se redresse. C’est une arme, une menace. Je veux fuir, dans mon trouble je ne trouve pas le loquet, je me heurte à la porte et je sens sur mon épaule une main ferme qui me retient
    
    - N’ayez pas peur, je ne vous ferai aucun mal. Excusez-moi, j’ai dû oublier de verrouiller la porte. Vous pouvez vous retourner, ma serviette cache l’instrument qui vous fait fuir. Pour me faire pardonner, je vous invite à prendre un verre avec moi au bar de la piscine.
    
    Ce type ne manque pas d’aplomb. Je le regarde. Le visage est agréable, agrémenté d’une fine moustache soignée, souriant, peut-être ironique. Il a des cheveux bruns, j’aurais pu le deviner à la vue de ses poils pubiens. Il sort de l’eau, c’est un sportif qui s’entretient ; en somme un bel homme doublé d’un charmeur.
    
    -Allez m’attendre au bar, je vous rejoins immédiatement.
    
    Je sors, je me dirige vers le bar. C’est idiot. Pourquoi boire un coup avec un type qui m’a peut-être tendu un piège? Pourquoi lui obéir aussi facilement ? Je ferais bien mieux de trouver une autre cabine et d’aller nager. Est-ce l’effet de sa grosse queue sur mon cerveau chamboulé, est-ce sa réaction, ce bond surprenant du gland vers le plafond quand l’homme m’a vue? Dans ma tête ça fait « crac boum huhu! » J’en tombe assise sur un tabouret de bar, le souffle court, le pouls accéléré. Ciel, que m’arrive-t-il? Pourquoi suis-je si émotive? Pourquoi ce tremblement nerveux dans les mains ?
    
    - Je me présente, ...
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