Réconfort et vieilles dentelles VIII. Martine (ou la coquine qui cachait bien son jeu) (1)
Datte: 10/12/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... et une vive ruade.
Je n’insistai pas.
Par contre, j’ôtai son bâillon-balle :
— Je vais continuer, Martine. Par contre, maintenant j’ai envie d’entendre tes cris. Lâche-toi, exprime-toi, les vocalises d’une soumise, ça m’excite !
Je repris la fustigation de ses fesses, avec des coups plus forts, sur un rythme désormais irrégulier.
Elle poussait de temps à autres des petits cris pudiques, tout en retenue. Parfois des petits « AHH » un peu plus forts, des « HMMM » un peu plus hauts.
Je m’attaquai à la chair tendre du haut de ses cuisses, plus fine mais aussi plus sensible, et ses cris montèrent en intensité.
Sa main frottait parfois la zone qui venait d’être fustigée.
— Enlève ta main, Martine, sinon je la fouette aussi ! Bien que si tu y tiennes, je peux te fouetter aussi la paume des mains... et la plante des pieds…
— Non
— Pourquoi tu as peur ?
— …
— Ou tu préfères les fesses… ?
-...oui, je préfère…
— On voit que tu aimes ça, ma belle...
Je fis tomber désormais les coups à un rythme plus rapide, et son large fessier se couvrit de belles zébrures. Elle haletait, se tortillait… mais sans jamais tenter de se retourner ou d’esquiver les coups.
— Et maintenant, le bouquet final ! Prête ?
— Oui...
Là, je fis pleuvoir par salves une belle cinglade, bien plus forte. La pièce se mit très vite à résonner de ses cris aigus et déchirants, voire désespérés parfois… Elle se décambrait brusquement plaquant son ventre contre le ...
... dossier.
Je marquais des pauses de deux-trois secondes, puis je reprenais. Elle jurait, serrait les dents.
— Hmmm, tu encaisses bien, ma Martine ! C’est un vrai plaisir de te châtier. T’es vraiment excitante. Un régal de fouetter une femelle comme toi ! On aurait pu penser que tu étais douillette, comme ces jeunes pimbêches… Mais je me rends bien compte que tu es vraiment taillée dans le bois dont on fait les soumises...
J’avais posé le martinet. Je montai à genoux sur le canapé, me positionnant tout près d’elle : d’une main j’empoignai un sein que je mis à malaxer vicieusement, tandis que l’autre trouva sa chatte bien ouverte et gluante (elle gardait toujours ses cuisses bien écartées, comme ordonné.)
Je me mis à caresser sa fleur toute luisante de sève, et très vite elle ondula des reins, son souffle devint court, et elle se mit à jouir, criant par petits coups tout d’abord puis se lâcha totalement, gueulant sans se soucier des voisins.
Je glissai deux doigts en elle, et me mis en plus à lui astiquer sa zone G. Elle se mit rapidement à beugler, m’inondant la main.
Quand elle eut finit de jouir, visiblement vidée, je lui intimai :
- Va te mettre là-bas, au coin, à genoux et les mains sur la tête, comme une sale gamine punie. Et tu y restes tant que je ne te donne pas un ordre contraire !
Elle obéit sans discuter, et une fois dans cette position, sembla retrouver un peu son calme.
Plus le temps passait plus je la trouvais belle, de dos, son fessier et ses ...