1. Réconfort et vieilles dentelles VIII. Martine (ou la coquine qui cachait bien son jeu) (1)


    Datte: 10/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... force de va-et-vient qui lui lubrifièrent le conduit, je finis par le pousser jusqu’au rétrécissement qui permet de coincer l’objet.
    
    Elle poussa un petit cri étouffé.
    
    — Voilà, c’est parfait ! Ton plug est en place, comme tu peux le sentir. Tu peux lâcher tes fesses. Pose tes bras sur le rebord du canapé. Je vais te punir, Martine.
    
    Cette fois, je ne la fis pas languir, et j’abattis le martinet d’un coup sec mais peu puissant en travers de son fessier. Elle poussa un petit cri sourd, plus de surprise que de douleur.
    
    Puis, à un rythme lent mais régulier, je fis tomber les lanières, non sans les avoir retenu avant le coup de la main gauche, afin de bien mesurer la force mais aussi de bien viser.
    
    Consciencieusement, j’alternai fesse droite, fesse gauche, coup droit et revers, haut des fesses, sommet, bas des fesses, et sa peau pâle commença à se couvrir de fines stries rosées.
    
    J’avais décidé d’aller lentement, mais crescendo. Je ne savais pas, en effet, comme elle encaissait d’habitude.
    
    Et sans accélérer d’abord, je me mis à la fouetter de façon plus ferme, la laissant souffler entre chaque coup (souffler ou bien ressentir la cuisson de chaque coup, là est la question…)
    
    De temps en temps, avant de faire une petite pause, je lui assénai une salve de plusieurs coups plus vachards, en triolets, ou en quadruple croche, et sa bouche obstruée par le bâillon-balle émettait des plaintes brèves mais plus vigoureuses.
    
    Je commençai vraiment à être excité, je me ...
    ... sentais étroit dans mon boxer : pour tout dire je bandai comme un cerf ! Le sang me montait également à la tête. J’avais envie de la fustiger joyeusement cette grosse poule, cette belle plante au fessier épanoui.
    
    D’une voix survoltée mais également autoritaire, alors que je marquai une pause (qui lui permit également de souffler) je lui intimai :
    
    — Allez, c’est bon maintenant : fous-toi entièrement à poil ! Tu ne vas me faire le goût de la pudeur, comme une jeune pucelle.
    
    Effectivement, elle ne sembla pas gênée et sans hésiter elle retira son chemisier, dégrafa et fit voler son soutien-gorge, puis baissa jusqu’au pieds pantalon et slip. Au cours de cette opération j’aperçus les lèvres de son sexe d’où pendaient des filets de bave ! Elle n’aurait pas pu protester qu’elle n’aimait pas son traitement !
    
    — Garde tes chaussures à talons, par contre. Tu es bandante comme ça ! Oui, tu te remets en position. Je n’ai pas fini. Ça ne fait que commencer. Et écarte bien tes cuisses. Et cambre toi bien.
    
    Je me remis à flageller son cul, sur toute la surface, d’une force égale.
    
    Et puis doucement d’abord – comme pour tester sa sensibilité à ce nouveau traitement – j’envoyai balancer les lanières entre ses cuisses, où elles fouettèrent doucement ses muqueuses intimes.
    
    Encouragé par l’absence de protestation, je dosai bien la force jusqu’à atteindre des petits coups secs marqués de petits « floc » « floc » et jusqu’à ce qu’un coup plus cinglant lui arracha un cri aigu étouffé ...
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